63 réflexions sur “Témoignages”

  1. Je frappe à votre porte. Trois petits coups. Trois petits coups nerveux qui trahissent, je crois, mon appréhension. La porte s’ouvre, vous apparaissez, je suis ébloui.

    Assis face à vous, je ne sais pas quoi faire de mes mains, encore moins de mes jambes. Je les croise, les décroise, cherche à adopter une posture détendue. Ne suis je pas trop détendu quand même? Je me raidis, me redresse, me détends, me retends. Vous m’offrez un whisky, je le bois presque d’un trait, il me remet un peu les idées en place.

    J’en profite pour vous observer. Il se dégage de vous quelque chose de très calme. Votre voix est tendre. Posée, affirmée. Et quand vos yeux plongent dans les miens, j’y vois une douceur inattendue. Notre discussion porte sur le BDSM, sur celles et ceux qui le pratiquent, sur ce qui les anime. Une ou deux fois, je me surprends à énoncer de grandes vérités qui me semblent, sur le moment, hautement spirituelles. A votre visage qui s’anime légèrement, à vos yeux qui se froncent imperceptiblement, je devine votre désaccord avant même que vous ne m’en fassiez part.

    Il y a, à ma droite, de l’autre côté de la fenêtre, une bibliothèque. Très belle, parfaitement orchestrée, pleine de bouquins. Je reconnais quelques couvertures, beaucoup de classiques. Le livre le plus proche de moi est écrit par Stefan Zweig. Je ne parviens pas à lire le titre mais j’y vois un signe. À n’en pas douter, vous relevez de sa Marie Antoinette : vous êtes belle et élégante. Mystérieuse, inaccessible et majestueuse. Quant à moi, comme Magellan, je m’apprête à plonger corps et âme dans un voyage vers l’inconnu.

    Les mains derrière la tête ou derrière le dos? J’hésite, je ne me souviens plus de ce que vous m’avez indiqué. J’essaie les deux configurations, hésite encore un peu et opte pour la tête. Je suis nu et à genoux au milieu de votre salon, tourne le dos à Zweig et vous attends. Des talons claquent sur le parquet du couloir, vous apparaissez, je me redresse, mets finalement mes mains derrière le dos et fais bonne figure.

    C’est par une dictée que notre séance commence. Nu sur une chaise, la main gauche posée à plat sur la table, offerte aux coups de votre canne, je gribouille tant bien quel mal les phrases que vous déclamez à la manière d’une institutrice. J’écris mal, vous me le dites, coup de canne. J’écris trop lentement, coup de canne aussi. Je manque de concentration, coup de canne encore. Vous vous approchez, coup de canne. Gratuit celui là. Je rature, je grifonne, je fais comme je peux. Je découvre au passage des mots que je ne connaissais pas, en improvise crânement l’orthographe. Au doigt mouillé, je redéfinis des règles dont j’avais oublié l’existence, en invente certaines, en supprime d’autres.

    Je me relis et ris (un peu jaune) sous cape : je ne parviens pas à décrypter certains mots que j’ai écrits, n’ai pas même la moindre idée des lettres que j’ai pu tracer. Optimiste de nature, je fais le pari hasardeux que vous y arriverez mieux que moi.

    Pari, de toute évidence, raté ! Je le mesure à l’intensité des coups que vous m’infligez. Je suis ficelé et sanglé à califourchon sur un banc, la tête tournée vers le mur, les fesses offertes aux différents outils que vous utilisez. Je ne les vois pas ces outils mais je les sens tant les douleurs diffèrent d’un coup sur l’autre. Ça fait mal mais le plaisir efface immédiatement la douleur. Au chaud succède le froid, à la douleur le plaisir. Mes sens écartelés altèrent doucement mes pensées.

    Sous cette pluie de coups, vous me faites un interrogatoire grammatical. Je peine à répondre, les coups redoublent, mon cerveau se liquéfie. Je bredouille les réponses telles qu’elles me viennent, les coups redoublent de plus belle. Dans mon brouillard cérébral, je me demande si Zweig maîtrisait aussi bien ces règles que vous. Dans mon brouillard cérébral, je décrète que non.

    Vient maintenant le moment où vous me pénétrez. Vous me dites que la taille du sexe est moyenne, je ne vois rien, je ne peux que vous croire sur parole. Vos coups de hanche sont saccadés et répétés, réguliers et puissants. Cadencés et impitoyables. Ils génèrent en moi des milliers de frissons qui courent à travers mon corps, ils m’électrisent de plaisir. Je suis bringuebalé au gré de vos hanches, secoué de toute part, cahoté par le ressac de vos mouvements.
    Je goûte ce moment incroyable, cette impression d’être transformé en jouet, de n’avoir aucune prise sur le cours des événements. Je goûte cet état d’esclave de votre volonté.

    La tempête se calme finalement, vous me détachez et m’ordonnez de m’allonger sur le dos, la tête entre vos jambes.

    Je me mue en rampant, à vos pieds. Insecte servile et insignifiant attiré par la lumière. Attiré par votre lumière.
    Vos jambes, vues d’en bas, sont interminables. Vous m’offrez le privilège d’embrasser vos pieds. Je le fais en y employant toute la délicatesse dont je suis capable, heureux de vivre cet instant de grace, pétri de reconnaissance. Du bout des lèvres, je masse votre peau, en explore chaque centimètre carré, m’en délecte. L’odeur est divine, le grain d’une douceur exquise. La délicatesse de vos mollets rivalise avec la finesse de vos doigts, l’élégance du port avec la beauté de la courbure.

    Vos pied me tapissent maintenant le visage. Je les hume, m’en enivre à loisir. Vos doigts s’enfoncent dans ma bouche, cherchent à atteindre le fond de ma gorge, me massent le palais. Parfois je ferme les yeux quelque secondes avant de les ouvrir à nouveau. Je suis encore là, vous l’êtes aussi. Vous m’autorisez alors à avoir un orgasme, je m’exécute reconnaissant. D’une force inouïe, il se propage à travers mon corps, offrant à chacun de mes membres un choc de plaisir dont je mets plusieurs minutes à me remettre.

    De nouveau dans votre salon, douché et habillé, vient le moment de la conclusion. Lorsque vous m’interrogez sur mon ressenti, je vous confirme avoir vécu un moment extraordinaire, même si je sais le mot bien faible pour décrire la réalité. Je brûle d’envie de vous retourner la question, de connaître votre sentiment, d’avoir votre point de vue mais n’ose pas. Sans doute par peur de voir se dessiner de la gêne sur votre visage.

    Je me lève alors et jette un dernier coup d’oeil à votre bibliothèque. Je salue Magellan qui, lui, n’a pas survécu à son voyage et prends congé, bien décidé à ne pas attendre encore une année avant de revenir me jeter à vos pieds.

  2. Cela fait quelques années que j’hésitais à franchir le pas. J’ai toujours eu une attirance pour la domination, et finalement je me suis dit que je ne voulais pas mourir avant d’avoir essayé, il fallait que j’essaie.

    Le temps du transport, j’étais assez calme, puis arrivé au pied du donjon, mon cœur s’est emballé. Sans hésitation et sans retour en arrière possible, j’ai toqué à la porte rapidement. En s’ouvrant j’aperçois la dominatrice avec qui je vais passer la prochaine heure.

    La séance commence avec un verre d’eau dans le salon, où nous échangeons sur les fétiches, nous faisons connaissance. J’indique être ouvert à toutes les pratiques, sans vraiment savoir ce que je voulais. En réalité je voulais tout essayer. Il était temps alors pour moi de me mettre nu, faire un lavement anal et j’attendu ensuite dans le salon, à genoux main dans le dos que la sentence arrive. Rapidement mis en laisse, je suivis comme une chienne Maîtresse pour aller dans la salle principale.

    Le reste de la séance m’appartient, mais quel plaisir anal j’ai ressenti ! Maîtresse Isadora est une reine en la matière, entre délicatesse et fermeté. J’ai été rassuré quand à plusieurs moments, elle m’a demandé si j’avais mal. Cela m’a rassuré sur le professionnalisme et la non mise en danger de l’acte, et m’a permis de me soumettre totalement, elle avait une emprise total sur moi, je lui faisais confiance.
    J’ai eu la chance, bras et main attachés, d’avoir un objet que je ne saurais décrire, me traire, provocant un orgasme si intense.

    J’ai vécu un moment suspendu dans le temps, je m’imaginais dans un film, c’était 1h de ma vie, mais j’ai eu l’impression que cela faisait des années que j’étais son esclave tellement la séance était intense en émotions. J’ai eu du mal à m’en remettre, je rêve encore de cette séance et c’est sûr, je reviendrai.

  3. Chère Maitresse Isadora,

    Mercredi soir j’étais dans un état euphorique ! Mais sans rien laisser transparaitre bien évidemment !

    Cette première rencontre ensemble a été une très belle réussite en ce qui me concerne.
    Vous êtes magnifique et vous le savez !
    Votre féminité exacerbe les regards portés sur vous.
    J’ai apprécié la clarté de nos échanges, et vos explications pour vous retrouver.
    Arrivé sur place, la découverte de votre donjon très parisien, sans faute de goût met d’emblée à l’aise, le respect de l’hygiène, douche avant /après, l’accueil avec un éventuel whisky …
    On sent une grande classe et une volonté de partager l’amour du beau !

    Comme c’est souvent le cas la première fois, on plonge dans l’inconnu, même si on s’est abreuvé d’informations avant la rencontre, sites web, réseaux sociaux, avis, podcast … et cela crée une certaine tension, mais vite dissipée par votre tenue impeccable, très féminine comme j’aime , sexy à souhait sans faute de goût et raffinée qui m’a mis parfaitement à l’aise

    Le timing était trop court à mon sens mais pour une première découverte ensemble, j’ai pu vivre une intensité rare.

    Mais venons-en aux faits et supplices et comment j’ai vécu cette séance !

    J’ai vraiment apprécié de me sentir dans un premier temps encagoulé puis attaché, menotté, enrubanné à votre chaise de torture !
    J’avoue que je ne pensais pas y rester toute la séance, mais la suite était tellement surprenante !
    Le fait de ne pas bien voir, fut un peu frustrant dans un premier temps, car j’aurais volontiers voulu me délecter de vous admirer, vous voir préparer mes supplices, faire monter d’avantage mon excitation. Mais vous avez d’abord su jouer avec mes tétons, les stimuler provocant mon érection quasi immédiate, et un beau niveau d’excitation, puis ensuite supplicier mes couilles, cela m’a d’abord surpris de voir à quel point vous pouviez alterner souffrance et finalement plaisir , le plaisir et l’idée d’être tenu par les couilles prenant le dessus.

    Lorsque vous avez ensuite préparé en secret vos outils, parfaitement nettoyés, j’ai pensé Oh mon dieu que fait-elle ? En sentant l’odeur d’alcool : des aiguilles ? Non ! Comme nous avions évoqué le sujet semble-t-il et n’étant pas fan, je me suis ensuite souvenu que j’avais orienté l’un de mes fantasmes de recevoir un travail urétral ! et cela n’a pas loupé !
    Quelle maîtrise vous avez, car c’est un jeu assez dangereux, mais vous avez parfaitement respecté les règles et maitrisé de l’introduction, à la recherche de sensations, tout en douceur absolument nécessaire pour ce type de jeu ! J’ai adoré !
    Là où j’ai été le plus surpris finalement fut l’apothéose, avec la tige encore bien enfoncée, cette montée de sperme et lâché prise, en éjaculant au travers cette tige ! C’était une belle première pour moi ! Quel plaisir finalement malgré l’appréhension !
    Que dire de cette séance ?
    Vous m’avez fait voyager vers des terres inconnues, malgré mon expérience, je vous trouve admirable, belle, et raffinée, autant de raison d’avoir encore envie de vous revoir, et de passer cette fois plus d’1h00 à vos côtés. Je me suis laissé totalement aller et atteint un haut niveau , proche de la transe ( ou subspace ?)
    Il y a beaucoup d’autres voyages à faire avec vous, d’autres chemins à découvrir et sensations nouvelles, sentir vos fluides, vos bas, votre corps, vous admirer dans des tenus sexy, tester de nouvelles sensations (vacuum bed ou milking machine par exemple, ou d’autres peut être en latex tout en restant sexy, alterner d’autres pratiques, voilà de nouvelles envies à vivre avec vous.

    Je vous envoie toutes les meilleures pensées sincères.
    Très bonne journée,

    Gary

  4. Bonjour maîtresse,

    Merci encore pour cette session, elle était formidable.
    Pour vous faire un retour un peu plus étoffé, j’ai d’abord beaucoup aimé la clarté dont vous avez fait preuve concernant l’organisation. La prise de rendez-vous, le coup de téléphone avant la session, les instructions pour me rendre sur place ainsi que la discussion avant la séance le jour J permettant de démarrer sereinement, sur des bases saines en connaissant les envies et limites de chacun.
    Ensuite, en ce qui concerne la séance plus directement, déjà, vous êtes magnifique, et vous arrivez à adopter une attitude furieusement excitante. Cette attitude permet de facilement rentrer dans l’ambiance du jeu. Vous jouez entre nos zones de confort où vous pouvez nous pousser assez loin, et des horizons inconnus où vous explorez avec douceur. Cet équilibre nous permet de nous découvrir de nouveaux plaisirs, de nouvelles envies et de nouveaux fantasmes.
    Vous m’avez comblé de bout en bout de la séance et m’avez fait découvrir ce que je voulais découvrir. Mieux encore, vous m’avez fait adorer ça.

    J’espère avoir à nouveau l’occasion de passer du temps avec vous.

    Au plaisir d’être à vous à nouveau.

  5. Souvenir d’un voyage en terre inconnue

    Maîtresse Isadora,

    Vous avez su m’initier à un monde qui me fascinait depuis tant d’années et je n’ai pas été déçu. Votre professionnalisme associé à votre beauté m’ont envoûté. Je garderai longuement le souvenir de cette soirée.

    Que retenir de cette séance ? J’aimerais garder le souvenir de chaque instant. J’ai plaisir à me refaire régulièrement le film de ce moment où les secondes ont semblé des heures de plaisir pour ne rien oublier. Avec du recul, on se rend compte du moment de plénitude passé à vos côtés et de la chance offerte.

    Votre accompagnement m’a permis d’aborder l’inconnu avec confiance. J’apprécie particulièrement votre philosophie du BDSM. Les échanges par mail, l’entretien téléphonique puis l’entretien en début de séance permettent de faire connaissance et de définir précisément les limites. Vous savez être très protectrice tout en étant cette dominatrice reconnue. Rien que pour cela, je suis à genoux devant vous.

    Durant la séance, vous n’avez laissé aucun détail au hasard et vous avez pris en compte toutes mes demandes. Je rêve encore régulièrement de cette tenue en latex qui vous mettait tant en valeur. De même pour le pegging, c’était divin.

    Pour autant, vous m’avez transporté de surprises en surprises durant la séance. Vous l’avez remarqué, je n’ai pas tout apprécié mais quel souvenir je garde de certaines pratiques. J’aimerais être plus souvent attaché …

    Enfin, face à vous les limites tombent. Avant la séance, je ne me pensais pas capable de faire ce que vous m’avez ordonné de faire. Et j’y ai pris un plaisir certain !

    C’était un honneur d’être à vos pieds durant cette séance. Merci pour ce moment Maîtresse Isadora.

  6. Voici un petit retour à chaud de cette séance passé avec vous : dans un premier temps je suis heureux d’avoir pu discuter un peu avant de commencer, je le cache plutôt bien mais j’étais un peu stressé et anxieux au début.

    Tout le rituel d’accueil et vos explications sont vraiment appréciables. On sent que vous ne laissez pas grand chose au hasard, et je pense comprendre que vous travaillez beaucoup sur les détails.

    Votre manière de dominer m’a été très douce, peut être à l’égard de notre première rencontre, mais on pressent quelque chose d’infiniment plus vicieux et ce contraste est particulièrement efficace. Je vous avoue que je m’attendais à ce que vous soyez un peu plus soft avec moi de base, mais vous êtes allée bien au-delà et je crois que je ne pouvais pas espérer mieux. Vous ne m’avez pas épargné ni sur l’anal ni sur les jeux d’impacts. Je n’avais encore jamais pleuré du mélange de douleur et de plaisir, c’était unique. La découverte de la sonde urétrale était aussi étrangement agréable. Être restreint et subir vos désirs a été particulièrement efficace avec moi comme vous l’avez vu.

    Je crois que je n’aurais pas pu rêver mieux pour cette séance, comme vous l’avez dit, ce sont bien deux et non une seule personne en échange dans cet instant hors du temps. Pour moi cette connexion a été naturelle, intense et immédiatement braquée vers des niveaux qui sont allés au-delà de ce que j’espérais.

    Si je peux repasser entre vos mains je le referai sans hésiter une seule seconde. Encore merci pour ce temps que vous m’avez accordé.

  7. Maîtresse Isadora est ma première expérience dans le domaine.

    Durant nos échanges avant le rendez-vous, elle a toujours été très rassurante, à l’écoute, et intéressée par mes envies. Le jour du rendez-vous étant arrivé, j’ai été pris d’un grand niveau de stress, cette découverte était attendue, mais redoutée par ma personne, étant un véritable néophyte. Isadora a été très rassurante dès mon arrivée, et j’ai vite senti et compris que j’étais entre de bonnes mains. Nul mot ne saurait décrire à quel point j’ai aimé et été satisfait de cette séance.

    Merci beaucoup Maîtresse Isadora.

  8. Bonjour Madame,

    Tout d’abord merci d’avoir accepté ma venue, je me rappelle encore de cette séance dans les moindres détails et sensations…
    Tout était prévu et suivi parfaitement depuis nos premiers échanges jusqu’au jour J qui était si long à arriver.

    Vous voir me recevoir dans cette robe rouge magnifique et vos talons était à couper le souffle, déjà, dès les premières secondes j’étais transporté ailleurs. J’entends encore ce doux son de talons sur le sol. Ce premier entretien, dans ce salon était à la fois intimident par votre aura et beauté, et rassurant par le cadre et le soin que vous avez porté. Très agréable surprise de devoir porter cette cage, une première, qui me donne envie d’en reporter une au quotidien. Vos pieds, sublimes et délicats me marquent encore l’esprit, je reverrais de les revoir et de progresser pour en prendre soin si vous me l’autorisez. Votre délicatesse pour me wrapper dans ce cocon était incroyable, cette sensation d’emprise et de contrainte était si agréable, comme un doux câlin. Ensuite je ne détaillerai pas vos jeux mais le final était grandiose, je m’en souviens encore, et 2x plus…. Une des plus belle sensation que j’ai eu… je donnerai n’importe quoi pour la revivre.

    Vous avez parfaitement pris soin de me faire revenir en douceur à la réalité, puis m’avez laissé repartir à ma petite vie avec ces images plein la tête et cette envie irrésistible de revenir à vos pieds

    J’espère vous avoir convaincu de m’accepter de nouveau à vos côtés pour progresser, en attendant je garde bien en tête ce jour.

    Merci Madame

  9. Bonjour madame,

    Je vous remercie tant de m’avoir retenu pour pénétrer votre donjon et votre univers ! Des premiers contacts jusqu’à l’accueil, de la mise en place jusqu’au déroulement de la séance et à la lecture de mes envies, c’était un vrai régal et je me sais si privilégié d’avoir retenu votre attention. C’était un vrai honneur de vous rencontrer, c’était de la haute couture – précisément ce dont je rêvais pour, comme je vous l’ai confié, de vrais moments d’évasion que je m’accorde de temps en temps dans un univers qui me fascine vraiment et qui m’habite quelque part.

    Pour vous suivre davantage encore sur les réseaux sociaux après la prise de contact, j’ai bien saisi la chance que vous m’accordiez – beaucoup d’éconduits, peu d’élus. Je vous remercie vraiment chaleureusement de cet honneur ; d’avoir peut-être un peu suscité votre curiosité et entré dans vos pratiques est une vraie fierté que je vais garder longtemps en tête.

    Plus précisément :

    – J’ai vraiment apprécié la prise de contact, vraiment parmi les meilleures que j’ai connues. A travers un formulaire web efficace j’ai pu vous dessiner un cadre pour lequel votre réponse m’a beaucoup rassuré et captivé. Merci aussi pour l’entretien téléphonique dans la foulée, la validation de la séance et les derniers détails.

    – Merci encore pour l’accueil, j’étais plutôt tendu mais le premier échange a été si apaisant et professionnel ! Parmi les nombreuses surprises, la chasteté imposée m’a énormément plu. Je n’ai peut-être pas eu le temps de le montrer, j’étais si (agréablement) surpris de l’ordre, mais ça a vraiment résonné comme le parfait début de séance. A vrai dire, la cage m’intéresse depuis longtemps et je voulais l’intégrer dans mon couple – je travaille essentiellement à la maison, madame a un job plus « conventionnel », et je voulais recentrer notre sexualité autour de son plaisir. D’avoir eu ma première expérience auprès de vous est un souvenir à vie.

    – Le décor et l’ambiance sont superbes, vous êtes équipée à la hauteur de votre réputation ! J’ai vraiment aimé pouvoir goûter à une large panoplie d’instruments. Evidemment, je suis un peu déçu de ma propre témérité – j’aurais aimé vous satisfaire davantage, être plus endurant, peut-être lâcher plus certaines de mes résistances. Mais vous avez très bien su calibrer en fonction de mes réactions, me faisant goûter à de nombreux instruments que je ne connaissais qu’en vidéo.

    – Avec le recul, c’était une vraie bonne idée de commencer par le face-fucking avec harnais, c’était un bon moyen de me lire rapidement, sur l’intensité et mon niveau. Vous ne pouviez pas le savoir, mais j’avais eu une expérience mitigée autour d’un mors-aux-dents en métal trop serré dans une autre séance, j’avais assez vite craché du sang. Je dois reconnaître qu’avec ce début de séance, j’ai craint que j’allais abdiquer un peu vite ! Mais l’impact play a été ensuite vraiment complet et si précis et performant, je regrette de ne pas avoir résisté à davantage de coups de martinet et de canne. Mais vous me l’avez fait vivre en fourrure, un vrai plaisir dans lequel je me suis réfugié et qui a animé un aspect que je visite moins de mon fétichisme – le cocon de protection. Un immense merci.

    – Vous avez vraiment su me détendre et me rassurer pour la partie pegging. J’ai goûté avec plaisir à vos encouragements et je pense que je l’ai mieux encaissée, c’était si agréable et joué avec habileté. Un vrai moment de plénitude, avec une dimension d’humiliation et de punition que vous avez sue si bien mener !

    – Evidemment, je vous remercie encore tant pour la prise en compte de mon fétichisme. Vous êtes superbe, c’était un vrai honneur d’être entre vos mains dans cette tenue – la vôtre avant tout, et celle que vous m’avez autorisé à porter. J’ai vraiment apprécié que vous n’émettiez pas de jugement, que vous le preniez si bien en compte et que l’on joue autour.

    En résumé, je vous remercie encore vivement de l’honneur de cette séance, et de tout ce qu’elle m’apporte déjà. C’était un vrai moment de lâcher-prise, une magnifique parenthèse que je recherchais. J’espère aussi avoir été, un peu, un sujet de jeu à la hauteur de vos attentes. J’ai adoré la séance, en dépit des apparences que j’ai peut-être laissées transparaître, et vous ne soupçonnez pas les changements qu’elle devrait avoir dans ma vie.

  10. Chère Maîtresse

    La séance de ce lundi m’a procuré des sensations que je n’avais pas encore ressenties

    La découverte d’un site Internet beau, simple, bien fait et explicite.
    Un 1er contact par le formulaire de contact.
    Une réponse elle aussi simple qui met en confiance.
    Un entretien téléphonique à l’heure prévue dans le respect et la bienveillance.

    Arrive le jour J, je suis au pied de l’immeuble le cœur battant, je monte les marches et me manifeste.
    La porte s’ouvre sur une somptueuse créature qui m’accueille dans son salon autour d’un verre.
    Le temps de préciser quelques points essentiels à la réussite de ce 1er rendez-vous et vous m’invitez à aller me préparer.

    Suivant vos consignes je reviens nu dans le salon où vous m’avez accueilli et me positionne à genou dos à l’entrée, Un craquement de parquet, vous me liez les poignets dans le dos et m’entrainez dans la salle des tourments.

    « Alors, comme ça tu es une salope qui aime se faire enculer » débutez-vous et, devant ma dénégation, m’assenez plusieurs gifles et menaces précises de ce que vous allez me faire subir si je n’avoue pas.

    Mes bras liés dans le dos m’interdisent toute défense. Vous m’allongez sur le dos et me piétinez tout en continuant à m’insulter. Plusieurs coups de pieds bien placés me font ressentir votre pouvoir. Vous m’enfilez votre haut talon dans la bouche en me traitant de suceuse de bites. Mes couilles me font mal, ma bite écrasée me lance et je dois lécher la semelle de vos souliers.

    « Avoue-moi que tu aimes te faire enculer comme une grosse salope, si tu veux que ça s’arrête. » Je me défends d’aimer prendre une bite dans le cul, alors vous me redressez, me déliez les bras et m’attachez sur votre banc de fessées. Mes bras et mes jambes bien serrées sur les accoudoirs, je vous offre mon cul.

    D’abord un petit échauffement au martinet, puis un martinet plus fort, la douleur s’installe sur mes fesses fouettées. Les instruments se succèdent, cravache, puis canne, puis fouet… Mon cul demande grâce devant cette flagellation menée de main de maîtresse et j’avoue !

    Tout d’abord un gel sur ma fente et rapidement vos doigts me pénètrent. Puis un 1er god que vous me faites d’abord goûter avant de me l’enfiler. Enfin vous vous équipez d’un pénis et m’obligez à une fellation en me rappelant à mon état : « tu aimes ça sucer des bites hein salope ! ». Puis vous passez derrière moi et me sodomisez sans pitié. Vos va-et-vient m’amènent au bord du plaisir, mais vous me réservez une vraie surprise après m’avoir longuement enculé.

    « On t’a déjà sondé la bite ? » m’interrogez-vous. Devant ma réponse négative mais la confiance que je vous accorde, vous choisissez de me détacher et m’allongez sur le sol. Je sens mon cul martyrisé par la sodomie et par le fouet se coller au sol. La sonde urétrale mise en place m’est presque agréable. Le vibromasseur que vous appliquez alors m’envoie comme une décharge dans la bite, mais rapidement, du tréfonds de mes couilles, je sens monter une autre décharge, celle du plaisir que vous m’accordez. Je ne sais plus combien de temps cela a pu durer, mais je me souviendrai toujours de cette jouissance comme apothéose de cette séance.

    Je rêve déjà de la prochaine et des tortures que vous me ferez subir.

    Mathéo

  11. Bonsoir maîtresse,

    Je ne sais pas par où commencer.
    Merci pour ce moment. Si j’avais oublié de vous faire un retour, les marques de votre canne sur l’arrière de mes cuisses me l’auraient rappelé.
    Je n’ai pas l’impression d’avoir les mots pour réellement décrire mes pensées.
    D’abord, je voulais vous dire que je vous ai trouvée impressionnante. Impressionnante déjà, de par votre beauté, votre posture, et la tenue que vous portiez. Impressionnante surtout, de par votre écoute, avant, et pendant la séance. Impressionnante enfin, de par ce puissant mélange de douceur et d’autorité que vous incarnez.

    Oui, j’étais impressionné, j’avais du mal à m’exprimer. C’était impossible pour moi, en tant que soumis, de me dire que je pouvais être à la hauteur de vos exigences. Vous maîtrisez tellement votre sujet, au sens propre comme au figuré… Je me suis senti faible, et en même temps, étonnamment, sans vous connaître, en sécurité.

    Vous m’avez fait découvrir de nouvelles sensations. Je n’ai pas vu le temps passer, le décompte sur la fin m’a achevé !
    J’ai beaucoup aimé cette partie, tout comme ma position à ce moment.
    J’ai aussi aimé vous regarder m’attacher, à travers le miroir, bâillonné, subissant ensuite le claquement de votre canne sur ma peau, impuissant. J’avais ces deux parts en moi qui se battaient…

    J’aimerais aller plus loin, avec vous, dans la douleur, la perte de contrôle et l’humiliation. J’espère que vous accepterez de me recevoir à nouveau.
    Quentin

  12. Bonjour Maitresse Isadora,
    Je suis ravi d’avoir eu la chance et le privilège de pouvoir vous rencontrer.
    Votre accueil empathique a permis d’installer une atmosphère de confiance dès le début de la séance.
    Vous m’avez fait découvrir des sensations tellement intenses lors de nos jeux que même aujourd’hui rien que le fait d’y repenser me trouble encore. Je vous suis extrêmement reconnaissant d’avoir accepter de me faire découvrir une partie votre univers.
    Ce fut un plaisir de vous avoir comme guide au cours de cette magnifique séance que vous aviez préparée.
    Encore merci pour cette formidable et inoubliable expérience.
    Sincèrement.
    Eric

  13. Devant votre porte, je m’arrête, interdit. Je ne sais pas si je dois frapper ou sonner. J’hésite, tends l’oreille, regarde autour de moi. La cage d’escalier est vide, personne en vue pour me sortir de là. Pas âme qui vive pour m’offrir une raison objective de prendre mes jambes à mon cou et revenir dans des contrées plus rassurantes. Votre porte est silencieuse, mutique, elle ne dit rien. J’hésite. Et puis, comme ça, sans réfléchir, je sonne. Je sonne comme on se jette a l’eau, à l’instinct. Quelques secondes d’attente avant qu’un bruit de pas me confirme que je suis au bon endroit. Vous ouvrez. J’entre à pas de loup.

    Sur la base des photos que j’avais pu voir avant notre rendez vous, je vous devinais belle et distinguée. Je vous découvre solaire, rayonnante, majestueuse! Vous me faites entrer et proposez que nous échangions quelques mots pour faire connaissance.

    Vous, installée dans un fauteuil, moi assis sur le canapé face à vous, nous discutons de mon expérience et de ma connaissance du bdsm.
    Vous me sondez, je le devine. Avec, de toute évidence, un certain succès. j’ai le sentiment que vous lisez en moi comme dans un livre ouvert, c’est très troublant. Je tente parfois un ou deux traits d’humour qui font apparaître un sourire sur votre visage.

    Quelques recommandations et une douche plus tard, je me mets nu, à genoux, au milieu de votre salon, les mains derrière le dos. Je vous attends, à votre demande, dans cette position soumise.
    La pression monte, le pouls s’emballe. L’appréhension grandit, l’excitation devient palpable. Je n’ai, à ce moment là, aucune idée de la couleur que va prendre notre séance. J’ai le sentiment de plonger dans l’inconnu, de ne plus être maître de mon destin

    Votre porte s’entrouvre, grince. Quelques secondes encore et vous apparaissez. Vous apparaissez, vous et votre beauté fracassante. Vous venez vers moi, un collier à la main, me le passez autour du cou, y accrochez une laisse et me tirez, tel un animal de compagnie, dans la pièce adjacente.

    C’est donc dans toute ma caninité que je découvre le lieu dans lequel je vais subir vos tourments. Je vois la croix de Saint André qui jouxte le miroir, une collection de cravaches accrochée au mur, une cheminée qui surplombe un grand lit couvert de noir. La musique classique qui sort d’une enceinte discrète, donne à ce tableau une solennité étrange. Vous me faites faire quelques pas en tirant sans ménagement sur ma laisse. Lors d’un mouvement un peu plus brusque, mon visage se retrouve à quelques centimètres de votre pied. Il m’attire votre pied, il est magnifique. J’ai envie de le toucher, de l’embrasser, d’y poser délicatement ma joue. Mais je n’ose pas. Je reste là, tête baissée, j’attends vos instructions.

    Me voila maintenant attaché à la croix de Saint André. Je vous présente ma nuque, mon dos, mes fesses. Votre martinet entre en action. Si la douleur est faible au début, elle devient vive lorsque vous augmentez la force des impacts. Elle m’arrache des cris de douleur. J’essaie de me dégager mais je suis bien attaché. Je me contorsionne, me tortille, me débats, dans l’espoir de me soustraire à la sentence. En vain bien sur, impossible de vous échapper.
    D’autant plus que la cadence augmente jusqu’à ce que les coups finissent par pleuvoir. Sur les fesses, sur le dos, sur le sexe. Chaque coup se mue en information contradictoire : souffrance et plaisir se rejoignent et se répondent. Mes sens commencent à se troubler, mon esprit à s’embrumer. Je vois mes dernières résistances tomber petit à petit.

    Quelques secondes de répit maintenant avant de vous voir prendre un fouet. J’ai à peine le temps de m’inquiéter que j’entends déjà son sifflement derrière moi. Sa pointe caresse mon dos. Douleur vive, cinglante. Caresse enflammée, disparaissant aussi vite qu’elle est apparue et laissant derrière elle une sensation de plaisir intense. Celui du soumis acceptant avec reconnaissance les sévices de sa Maîtresse

    Vous m’offrez une pause de courte durée quand vous prenez une corde et l’attachez à mes testicules. Vous tirez dessus, m’obligeant à me cambrer, relâchez puis tirez à nouveau tout en me maintenant la tête. Vous reproduisez ce manège pendant quelques minutes avant de me détacher et de m’offrir un nouveau tour, à quatre pattes, tenu en laisse cette fois ci par le sexe. Je goûte encore une fois au plaisir que me procure cette position. Je crois que si toute la séance ne tenait qu’à ça, j’y trouverais largement mon compte.

    D’une parole, vous me faites allonger sur le dos. D’un mot, me transformez en tapis. Et d’un geste, en paillasson. Debout sur moi, vous m’écrasez le sexe, frottez sans ménagement votre pied sur mon visage, essuyez vos semelles sur mon torse. Je pousse des exclamations, davantage de surprise que de douleur. Vous les étouffez en plaquant fermement votre pied sur ma bouche.

    Allongé sur le dos, les jambes relevées et les mains attachées de chaque côté du lit, je vous regarde maintenant accrocher un gode à votre ceinture. Vous voyez mon trouble devant la taille de l’objet et prenez donc votre temps. Je ne dis rien, je n’ai rien à dire.
    Après me l’avoir enfoncé plusieurs fois au fond de la gorge, vous me sodomisez. Vous me sodomisez, sans ménagement, en me regardant droit dans les yeux, comme si vous essayiez de lire au plus profond de mon âme. Le rythme de vos hanches est soutenu, régulier, sans concession. Je goûte ce moment, je m’abandonne totalement au plaisir intense que je ressens à cet instant. Je reste surtout hypnotisé par votre regard déterminé. Votre main se plaque sur mon visage, l’écrase, rompant de fait notre conversation silencieuse.

    Ce qui me marque dans notre séance, ce sont les interstices. D’une part parce qu’ils m’offrent un moment de respiration bienvenue, mais surtout parce que je peux prendre le temps de vous regarder, à la dérobée. Il se dégage de vous quelque chose de très serein qui contraste avec le désordre de mes idées. A cette sérénité affichée s’ajoute le mystère de vos pensées. Je vous regarde donc prendre le temps d’attacher consciencieusement mes bras à mes avant bras, mes poignets à mes épaules, forçant mes coudes à rester pliés. J’admire votre expertise en noeuds, vous en fais part, ose même vous dire que vous avez du talent en la matière. Vous répondez, amusée, que des talents, vous en possédez bien d’autres.

    L’intensité monte encore d’un cran lorsque vous insérez un crochet dans mon anus. Crochet relié par une corde au plafond, m’obligeant ainsi à me tenir sur la pointe des pieds. J’ai dans la bouche un bâillon m’interdisant toute réclamation et mes bras immobilisés m’interdisent toute possibilité de me dégager. Je sautille sur place, comme un poulet, incapable de trouver une position confortable. Devant mon air ahuri et mes yeux implorants, vous me rappelez que je vis le quotidien des femmes qui portent des talons. L’image est saisissante, je ne peux qu’acquiescer.

    Vous voilà équipée d’une canne maintenant et commencez à me fouetter. Doucement ou fortement, je ne sais plus. A ce stade de la séance, je ne suis plus moi-même. Je me sens dénué de toute volonté, de tout libre arbitre. Je ne suis plus qu’un objet entre vos mains

    Vous m’ordonnez, pour finir, de me positionner à quatre pattes devant un miroir, m’obligeant ainsi à me regarder, à observer ce que je suis devenu. La corde reliée au crochet est maintenant attachée à l’arrière de mon bâillon, me forçant à garder la tête et les fesses hautes. Parfois, vous tirez sur la corde, accentuant la cambrure de mon dos. Vous me fessez je crois et m’insultez avant de commencer à caresser mon sexe. Doucement d’abord, énergiquement ensuite. C’est dans cette position, quelques minutes plus tard, que je vis un orgasme d’une puissance inattendue, rare, ahurissante.

    Je me dégage doucement, assommé de plaisirs, assommé par ce que je viens de vivre. Vous me libérez les bras, la tête, les jambes et m’envoyez me rhabiller, laissant en moi une multitude d’images et de sensations que je mettrai plusieurs jours à digérer.

  14. Tout d’abord, je tiens à vous remercier de l’accueil, mon stress était bien présent étant donné que je suis un débutant et que c’était la première fois que je vous rencontrais.
    Vous avez su me mettre à l’aise, tout en étant à l’écoute.
    Par la suite, nous avons commencé la séance, au début j’étais tendu car je passais du virtuel au réel, et il y a un fossé entre les deux. Mais vous avez su être sévère, ferme, attentionnée, humaine, douce mais aussi piquante à la fois. Toutes ces qualités chez vous m’ont fait lâcher prise, j’ai réalisé des choses que je ne pensais pas possibles, vous m’avez fait dépasser mes limites et j’ai apprécié. Être à vos pieds est une merveilleuse expérience, je reviendrai vous revoir, pour la renouveler en espérant le plus vite possible.
    Pour finir, vous êtes une maîtresse expérimentée qui maitrise parfaitement sa séance.
    J’ai aimé chaque instant de cette séance.

    Merci à vous.
    Cordialement
    Votre soumis.

  15. Amandine et Aurélien

    Maitresse Isadora,

    Nous reparlons fréquemment de la séance et pouvons d’ores et déjà vous assurer de notre envie de répéter l’expérience.
    Difficile de précisément savoir par où commencer ; peut-être par le début, lequel n’a pas débuté le jour de la séance, mais déjà à l’occasion de l’entretien téléphonique. Une importante entrée en matière propice à préciser les choses autant qu’à faire progressivement croître l’excitation ; excitation mêlée d’une légère appréhension dont le paroxysme fut atteint au moment du franchissement de la porte d’entrée. Votre accueil, au seuil de la porte, en tenue, y contribua fortement. Le moment de discussion – fort agréable – devait à la fois nous apaiser tout en nous faisant pleinement entrer dans le concret de la situation. Une fois la douche prise et après nous être déshabillés pour vous attendre à genoux, seule persistait l’excitation. Toute appréhension avait disparu.
    Nous avons absolument tout apprécié dans le scénario que vous nous avez proposé, qu’il s’agisse des pratiques comme de leur déroulé, avec une remarquable montée en intensité. Le contact offert avec votre corps fut très érotique.
    Les moments où nous fûmes contraints à une relative passivité voyeuriste complétaient ceux en lesquels vous nous soumettiez à vos délicieux « sévices » : ce qui fut essentiel au plaisir recherché dans ce jeu à trois.
    Dans la perspective d’une prochaine rencontre, nous pensons possible de pousser un cran plus loin toutes les pratiques. Les jeux d’impacts pourront être plus intenses – pour Amandine particulièrement. Les jeux de pénétrations, vaginales et anales, pourront aussi être accrus. Une marge semble aussi possible pour le CBT.
    Votre choix musical s’est révélé nimber la séance d’une atmosphère inattendue mais lui conférant la solennité requise.
    L’uro aura été un moment d’acmé et, la prochaine fois, nous espérons pouvoir déguster votre champagne.
    La sodomie de fin de jeu, avec Amandine positionnée au-dessus d’Aurélien, obligée à lécher son sperme, était une idée merveilleusement perverse. Nous ne pouvons nous empêcher de fantasmer une double pénétration…
    En repartant, il nous fut impossible de mesurer le temps passé en votre compagnie. Preuve supplémentaire de l’expérience unique que vous nous avez fait vivre.

    Docilement,
    Amandine et Aurélien

  16. Ma deuxième séance avec Maitresse Isadora est né d’un petit scénario basé sur la visite d’un macho de troisième zone (pléonasme?) chez une psy-sexologue au sujet de pensées homosexuelles que connaitrait cet homme, moi en l’occurrence, via des rêves troublants qui mettrait en doute sa soi-disant virilité. Nous avions convenu que je n’hésiterais pas à la provoquer en balançant des énormités d’un autre âge au sujet des femmes et des homosexuels.

    Je m’empresse de préciser que je ne partage absolument pas les horreurs que j’ai pu exprimer en séance à ce sujet et leur retranscription ici n’aurait aucun intérêt.

    Maitresse s’est habilement prise au jeu et m’a indiqué que je devais « combattre le mâle par le mal » (les deux orthographes étant réversibles). Aussitôt dit et après quelques pathétiques protestations je me retrouvais attaché à subir les coups mérités de ma sexologue pas véritablement agrée par la sécurité sociale.

    Très vite mon personnage s’effaçait devant ma véritable personnalité intime, c’était le but du jeu. Mes rodomontades ne pesaient pas lourdement au regard d’une virilité fort modeste et surtout totalement humble par rapport à l’exercice du pouvoir que je devais affronter.

    La suite de la séance eu lieu pour mon corps si mal défendant, et surtout mal défendu, sur le lit écartelé et nu. La séance prit alors un tour inattendu pour mes faibles attributs. Il faut préciser que j’ai indiqué, comme tout bon soumis, les pratiques que j’appréciais tout en laissant la porte ouverte à Maitresse Isadora pour d’autres amusements si elle s’en sentait le désir. J’ai assez peu de tabous mais il est vrai que je suis beaucoup plus sensible à l’aspect cérébral des choses et que – fatalité de ma condition – je suis quelqu’un de plutôt douillet.

    Quelle ne fut donc ma surprise de voir ma Maitresse arrivée avec une bougie allumée à la main. Elle m’expliqua le plus sérieusement du monde que la flamme représentait mon hétérosexualité, douce et chaude, mais si fragile que le souffle léger d’une femme triomphante peut éteindre d’un coup. Je suis d’une stupidité raisonnable et je savais que l’usage qui allait en être fait dans les secondes qui allaient suivre ne seraient pas à mon avantage. Mais allait-elle oser?…

    Un court échange permettra de mieux comprendre le délicieux tourment qui m’a saisi:

    – Maitresse, vous savez que je ne suis pas maso. Vous savez que je vais avoir mal. Pourquoi m’infligez cela?

    – Oui tu vas avoir mal, et plus que ce que tu crois. Mais je te promets que tu vas aimer ça.

    Quelques secondes d’éternité… et là l’échange de regards atteint une intensité folle. Je suis transpercé de toutes parts par l’émotion qui m’étreint. C’est comme une vague de bonheur qui assaille ma poitrine mêlée à une vraie appréhension. Je tire inutilement sur des liens trop solides… Je LIS dans ses yeux la nécessaire touche de sadisme qui illumine aussi fort que cette fragile flamme le regard de ma tourmenteuse. Elle sait que je sais que ce n’était pas prévu mais que plus rien ne pourra empêcher ce qui suit. Je m’attends à ce qu’elle s’approche de mon buste quand soudain je constate horrifié que la bougie bascule lentement vers mon entrejambe. Mon pénis, pauvre limace sans coquille, est trop nu et trop sensible pour résister à cette brûlure cruelle. Et toujours ce regard qui me fixe, mélange irréel de pouvoir absolu et de tendresse des traits. Comment une personne aussi belle peut-elle être aussi cruelle ? J’ai mal mais les émotions positives qui m’assaillent supplantent largement cette chaleur excessive. D’autant qu’elle finit presque par être agréable.

    Si je me suis permis de développer ce passage de façon peut-être excessive et prétentieuse c’est que je suis persuadé que les vrais soumis, qu’ils aient déjà rencontré ou pas Maitresse Isadora, comprendront tout à fait cet état d’excitation mentale qui nous remplit lorsque ce genre d’instants magiques se produit. Et qu’ils comprendront aisément pourquoi en écrivant ces lignes j’en pleure encore de bonheur. Je laisse aux cyniques l’exploit de mépriser ces présents propos…

    La suite de la séance fut dans la continuité de cet Himalaya mental. J’aurais pu aussi évoquer quand Maitresse Isadora prit possession de mon corps (je n’exagère pas…) pour les besoins d’un orgasme ruiné qui prit son fondement par les doigts de fée de mon experte déesse.

    Ce fut donc, évidemment, une séance exceptionnelle. J’ajoute, ce qui ne gâte rien, que Maitresse Isadora est drôle et passionnante dans ses conversations. Et il y a eu, pour finir, un petit détail amusant qui a conclu notre rencontre. Mais ça, chut, c’est notre secret…

    Avec tous mes respects,

    Durhan

  17. Pauline et Justin

    Bonjour Isadora,

    Je tenais encore à vous remercier pour notre séance.

    Vous nous avez accordé beaucoup de temps et d’attention, et je vous en remercie.
    J’ai eu la chance de découvrir une pratique quelque peu “inquiétante et troublante”, avec une Maîtresse généreuse, ampathique, intelligente, élégante et subtile. J’ai beaucoup apprécié que vous nous proposiez un programme parfaitement sur mesures, et que vous poussiez les curseurs selon ce que vous ressentiez de notre niveau de tolérance.

    J’ai été impressionné par votre contrôle et votre maîtrise tout au long de la séance.
    Vous m’avez bousculé avec fermeté et douceur. J’ai perdu le contrôle. C’était nouveau pour moi, et j’ai beaucoup apprécié. J’aimerais renouveler cette expérience dont j’ai aimé chaque instant (en particulier lorsque vous m’avez honoré debout, et que vous vous êtes ensuite assise sur mon visage).

    Hors séance, nous avons tous deux été sensibles à nos échanges, que nous aurions aimé poursuivre.

    Merci encore pour ces nouvelles sensations 🙏🏼

    Beau dimanche à vous,

    Pauline et Justin

  18. Greetings Mistress Isadora,

    Through a long journey back home, I kept thinking what can I write in order to give what I just experience its proper value, and for one that is rarely is out of words the only word I could come up with is WOW.
    The session was seamless and magical, your presence so dominating yet so human. The practices I had previously experienced were memorable and as good as I ever experienced and the in the one practice I had for many years hesitated in trying, you made me feel so trusting and comfortable inducing me to completely let go and fully be immersed, both literately and physically ,
    Again I thank you for accommodating with the short notice and the trust you gave me, and sincerely hope to get the chance to session again soon.
    in the meantime, I will live in the memories that wont be out of my mind any time soon.

    respectfully

    Ross

  19. Bonjour Maitresse,

    La session a été incroyable. En tant que soumis débutant n’ayant jamais rien fait qui s’approche de près ou de loin de la domination, j’étais terriblement stressé et vous avez su me mettre en confiance dès le début. Vous avez une douceur dans l’approche avant de commencer la séance qui permet d’être de suite à l’aise, on ne réfléchit plus trop à ce qui va se passer et on a juste hâte de se laisser emporter par vous. Vous savez cerner vos soumis, respectez leurs attentes mais en même temps vous les amenez vers des pratiques vers lesquelles, à froid, on se serait dit  » je suis pas sur de ça » et au final à ce moment là est juste magique. Etre à vos pieds et pouvoir les masser est une sensation étrangement enivrante, il y a un charisme qui se dégage de vous .. Je serais près à vous suivre au bout du monde. Et le moment de fin, quand vous prenez le temps de laisser respirer et de reprendre ses esprits a été plus qu’apprécié. Donc encore une fois, merci Maîtresse pour le voyage que vous m’avez fait entreprendre.
    Je n’hésiterai pas à revenir si c’est possible.

    Avec tout mon respect,
    Votre Soumis.

  20. Bonjour Maitresse,

    J’espère que vous allez bien aujourd’hui depuis notre rencontre d’hier. Comme promis je vous fais un petit débriefing de cette formidable séance.

    Avec le recul d’une journée, mon impression demeure toujours positive. J’ai retrouvé le bonheur que j’avais connu avec d’autres dominatrices. Vous arrivez à insuffler un climax propice au lâcher-prise grâce à une sensualité aussi douce que cruelle. J’ai été frappé par le contraste entre une personne accueillante mais réservée, presque timide, et une tigresse qui n’hésite pas à toucher les points les plus sensibles qu’ils soient physiques ou situés au fond de l’âme.

    J’ajoute que vous bougez avec une sensualité magique. J’ai le souvenir de votre danse au-dessus de mon corps impuissant. Vous y étiez diaboliquement belle, gracieuse, irritante, insultante de désir à l’égard de mon impuissance…. au-delà de cette séance j’en garderai le souvenir ancré au fond de ma mémoire.

    Au final vous avez été parfaite. Et j’ai bien senti que vous aviez pris du plaisir à cette séance.

    A bientôt j’espère,

    Durhan

  21. Après avoir siroté une coupe de champagne en échangeant avec finesse et élégance sur des sujets divers et variés de la vie. Maitresse Isadora introduit une question de manière abruptement érotique : « Alors, quelles sont les pratiques que tu affectionnes particulièrement ? » Cette question me fit basculer dans un autre monde et d’un seul coup l’homme soumis en moi émergea. Je répondais avec hésitation à cette question alors que je connaissais par cœur la réponse mais l’attitude, la voix, le regard, la posture de Madame avait changé cela me troubla. Elle m’indiqua de me déshabiller et de l’attendre à 4 pattes pendant qu’elle préparait succinctement la pièce d’à côté. L’attente fut courte, mais une suave excitation emplit mon corps et mon esprit. Je portais ma cage. Elle détenait la clé. J’entendis quelques bruits d’objets et mon imagination galopait à toute vitesse.
    Elle portait cette combinaison en latex noire qui lui allait à ravir, moulante, elle provoquait une mise en forme de son corps que l’on imaginait à la fois musclé et gracieux. Elle vint me chercher du haut d’élégants talons noirs, attacha une laisse à mon collier et tira fermement pour me trainer à 4 pattes dans son antre érotico SM. Mon corps et ma voix se mirent à trembler légèrement, je ressentais l’énergie puissante et dominante de Madame, cela m’excitait particulièrement. Elle m’ordonna de grimper sur le lit à 4 pattes et de lui offrir mes jolies fesses musclées. J’obéis. Elle agrémentait ces ordres d’insultes en tout genre, savamment choisies et délicatement placées afin de soumettre mon corps, glissant peu à peu dans un état de pute. Ces gestes fluides, sa voix aérienne, sa manière de me toucher, de poser ces mains gantées sur mon corps, elle était agile, précise et gracieuse, comme une danseuse. Elle mettait juste la pression sur mes muscles qu’il fallait pour me sentir enveloppé par son aura. Un dialogue commença entre nous, des corps et des mots. Mon oralité, ma réactivité verbale alimentait ces joutes punitives et humiliantes envers moi. La chaleur monta d’un cran dans la pièce. Elle m’autorisa à sucer sa belle queue, profondément, elle pris ma tête plusieurs fois et l’enfonça en gorge profonde, mon sexe banda alors difficilement dans sa cage d’argent. Sa belle queue emplit de ma bave, je manquais de m’étouffer plusieurs fois, je sentis un élan de satisfaction en elle, cela me ravit. Elle se dirigea alors derrière moi, m’ordonna de bien me cambrer comme la petite chienne que j’étais et se mit à faire glisser sa queue sur mes fesses offertes. Et d’un seul coup, elle me pénétra. Humhum, je sentis sa queue m’emplir entièrement, quel plaisir ! Elle tenait ferment mes hanches et progressivement, elle me pénétra de plus belle jusqu’à défoncer mon joli petit trou serré. Quelle extase !!!

    A peine eu le temps d’une minute de repos qu’elle m’ordonna de me tourner sur le dos, elle m’attacha alors les mains aux barreaux du lit, et commença une torture méticuleuse de mes tétons et j’eus alors le privilège qu’elle retire ma cage. Mon sexe déjà un peu endolori subit quelques sévices délicieux. Elle glissa son sublime corps enveloppé de latex sur le miens, j’étais en transe, elle s’assit sur ma bouche, je fantasmais de découvrir son corps entièrement nu et son sexe que j’imaginais mouillé sur mon visage peut être même dans ma bouche. Cette pensée me frustra autant qu’elle m’excita terriblement. Puis elle glissa derrière moi, m’enlaça la nuque de ces cuisses musclées, fines et puissantes et commença à m’étouffer progressivement. Elle alliait à merveille l’art du crescendo, un vrai talent. L’essence même du plaisir à mon sens. Elle m’autorisa alors à me caresser, je m’exécutais immédiatement comme une petite chienne en chaleur à qui on autorise de manger dans sa gamelle. Au fur et à mesure qu’elle pressait ma nuque et pinçait, caresser, griffait mes tétons et mon torse, mon sexe gonflé et je sentais la sève montait en moi. Elle se mit alors à comptait jusque 10 et m’ordonna de jaillir à 10, l’attente me mit en transe, elle aurait pu ruiner mon orgasme fontaine, elle n’en fit rien, j’avais dû être bien docile et sage pour mériter une telle récompense. Et quand sa voix gracieuse prononça 10, une chaleur sourde et profonde me submergea et de mon sexe jaillit un beau sperme plein et puissant. Une apothéose. Ce fut un moment délicieux, un échange dans l’écoute, la bienveillance, et la sensualité, une invitation au voyage entre des mains expertes, un enveloppement, une transe. Marqué dans mon esprit pour des nuits et des nuits encore je l’espère…

  22. Bonjour Maîtresse Isadora,

    Je peux vous dire que j’ai absolument tout apprécié lors de notre rencontre le 28/02 : votre bienveillance pour ma première fois, l’accueil et les différents « sas » entre le début et la fin de la séance.
    Vous m’avez fait découvrir les plaisirs de l’anal, non soupçonnés jusqu’à maintenant et vous avez su me lire, avec mes envies, ce qui me fait dire que j’ai eu de la chance d’avoir été votre soumis.

    Je n’oublierai jamais ma première fois et vous m’avez confirmé le fait que j’aime vraiment la soumission.

    Encore un grand merci à vous pour ce moment, que j’espère pouvoir renouveler prochainement, si bien sûr vous le souhaitez.
    Je vous souhaite une agréable journée

    Ruben

  23. Bonjour Maîtresse Isadora

    Comme promis, voici mon retour concernant notre session de jeudi dernier.

    Tout d’abord, je soulignerai le fait que vous avez en toutes circonstances montré que vous étiez attentive au fait que je me sente en sécurité. Ça devrait sembler évident pour ce type de rencontre mais ça ne l’est malheureusement pas dans tous les cas, donc je remercie toujours quand je sors d’une séance en m’étant senti safe de bout en bout.
    J’ai tout particulièrement apprécié le moment très protecteur, presque maternant, que vous avez eu lorsque nous avions fini de jouer et que je ne « touchais plus le sol ».

    Malgré plusieurs années d’expérience, il m’arrive toujours de me sentir très impressionné par l’aura de quelqu’un, ce qui peut parfois me rendre un peu nerveux avant la session. Je ne sais pas si ça s’est remarqué mais c’était le cas avec vous. Vous dégagiez une impression de très grande stabilité, de calme et de maîtrise, quelque chose qui renvoie à l’archétype de la Maîtresse inaccessible, impériale, éthérée, presque mystique.. beaucoup de qualificatifs pour dire que je me suis immédiatement senti insignifiant en votre présence, dans le bon sens du terme.
    Ayant un peu l’habitude de fréquenter des dominatrices préférant être dans un registre que je qualifierai plus terre à terre et « playful », c’est un changement de ton qui a très largement fait son effet.

    Concernant le jeu en lui même, la première image qui me revient en tête est de votre semelle devant mes yeux, et vous qui me dominez de toute votre hauteur.
    Ça résume parfaitement l’état mental dans lequel je me suis senti vis à vis de vous tout au long de ce moment.

    L’anal s’est passé parfaitement, le crescendo était dosé de façon impeccable, je n’ai senti de gêne ou de difficulté à aucun moment, ai été assailli de plus d’orgasmes que je n’ai pu en compter, et pour être honnête j’ai une érection en vous écrivant ces mots.
    Une session où je termine tout collant de squirt, de sueur, de salive et de sperme est une véritable sensation de plénitude durant lequel je me sens parfaitement à ma place.

    Un énorme merci pour cette belle soirée.
    Je suis bien sur à l’écoute de vos impressions ou souhaits pour de futures rencontres, ou toute question que vous pourriez avoir.

    A.

  24. J’ai vu pour la première fois Maîtresse Isadora sur Twitter. Ses photos iconiques m’ont tout de suite conquis. La découverte de son site m’a confirmé qu’Elle est une femme très spéciale. Il suffit de lire ses récits de scénarios dans la section « Mon Univers » pour s’en rendre compte.

    Je L’ai contactée par mail, conscient que mes pratiques sont plutôt limitées par rapport à ses jeux à Elle. Maîtresse Isadora convient avec moi d’un appel téléphonique. Elle accepte ma candidature et nous prenons rendez-vous…deux mois plus tard.

    Vous vous en doutez, l’attente paraît interminable pour l’un de nous deux ! En fait, la séance a déjà un peu commencé dans mon esprit.

    Le jour J, je me présente avec un bouquet de tulipes, une bouteille de vin et l’offrande dans une enveloppe. Maîtresse Isadora m’ouvre sa porte. Elle porte un chemisier blanc, vaporeux, une jupe en cuir noir, ses jambes sont gainées de nylon et ses pieds chaussés d’escarpins à plateforme, ajourés, vertigineux. Son visage angélique inspire immédiatement confiance, Elle est terriblement belle.

    Je la suis dans son salon, où Elle me met immédiatement à l’aise en me proposant de boire un verre. Du rhum à onze heures ? Je ne vais pas me formaliser pour un détail pareil, alors que je suis venu me faire maltraiter par une délicate amazone pendant une heure !

    Le courant passe très bien entre nous. Je suis troublé par la beauté de mon hôte, mais me sens totalement en sécurité et en confiance. Les présentations terminées, Maîtresse Isadora m’invite à faire un brin de toilette et mettre une cage de chasteté. J’ai pour consigne de me rhabiller à l’issue, de retourner dans le salon et de L’y attendre, allongé dans le canapé, comme le patient d’une psy.

    D’ailleurs La voilà qui entre, somptueuse, équipée d’un bloc-notes et d’un stylo. La séance commence  »
    « – Bonjour, vous êtes ici car vous m’avez parlé de pensées déviantes, dérangeantes. Vous pouvez m’en dire plus ?
    – Oui, je suis troublé par des envies inhabituelles : être dominé, sodomisé…pourtant je suis hétéro ! Je pense également que je suis fétichiste.
    – Il y a des matières ou des vêtements qui vous mettent particulièrement en émoi ?
    – Exactement. Le nylon, les talons aiguilles. Pour être honnête, les bas que vous portez me font en ce moment-même un effet fou.
    – Tiens donc ! Eh bien approche-toi ! Viens les voir de plus près…à quatre-pattes ! »

    La sage psy laisse la place à une femme dominante, qui écrase ma tête de ses talons. Elle m’autorise à frotter mon visage contre ses bas, à embrasser ses chaussures. C’est avec ses interminables talons qu’Elle explore mon entrejambe et détecte ma cage.
    « Relève-toi, et déshabille-toi ! Le traitement peut commencer. »

    Je dois à nouveau rejoindre le sol, où mon corps est parcouru par les talons de ma lubrique psychiatre. J’ai une vue en contre-plongée sur ses jolies jambes, son porte-jarretelles, sa moue réprobatrice. Elle veut que je La suive à quatre-pattes, nu. J’entre dans une chambre équipée d’une croix de Saint-André, d’un lit recouvert d’un drap en vinyle. Elle m’enfile un collier “pour te rappeler ta condition de chien”. Elle m’attache par les poignets au lit, où je suis allongé sur le dos. Sans doute ennuyée par la chaleur de la pièce, la psychiatre retire son chemisier. Je découvre une lingerie indécente, le corps d’une femme splendide. Difficile de contenir mon émotion dans l’étroite cage. Elle m’indique que cet artifice est nécessaire, car selon Freud “quand un homme oublie son sexe, il peut se concentrer sur l’essentiel”. A cet instant, “l’essentiel” consiste en la dilatation de mon arrière-train par Docteur Isadora, gantée de vinyle. Le travail est doux, progressif, appliqué. Le traitement à proprement parler peut commencer.

    Pour tester ma sensibilité, Elle parcourt mon scrotum avec une roulette de Wartemberg. Ce n’est pas douloureux, tout juste une intrigante piqûre nomade.

    Maîtresse Isadora enfile une ceinture de cuir, sur laquelle Elle fiche un gode noir, protégé par un préservatif. Son petit patient va bientôt être pénétré par le corps médical. C’est une vraie partie de plaisir, ma surprenante psy se montre encore une fois douce et attentive. Elle va et vient avec une telle aisance dans mes entrailles, qu’Elle décide d’opter pour un gode plus conséquent. Ses coups de boutoir se font alors plus rythmés, Elle prend appui sur mon torse pour varier les angles et les plaisirs. A cet instant, je ressens une vive émotion, une gratitude sans limites pour cette Femme qui se consacre à mon plaisir, et qui visiblement fait ce qu’Elle aime. Pour la première fois, je ressens l’énergie d’une personne qui me pénètre, me prend littéralement. Je suis à Elle.

    C’est désormais à mon sexe de subir la perversité de la Praticienne. Elle retire la cage, et ne tarde pas à insérer toutes sortes de sondes dans mon urètre. C’est délicieux, parfois douloureux. Les vas-et-viens des instruments sont bientôt accompagnés de douces caresses prodiguées par ses pieds gainés de bas en nylon. C’est doux et chaud, ce qui contraste avec la froideur de la sonde. Je suis subjugué, et pourtant je ne me doute pas de la suite des événements.

    La psy se transforme en Amazone quand Elle retire ses gants, détache mes entraves, me demande de glisser plus bas sur le lit, et entreprend de chevaucher mon visage alors que ses mains s’emparent de ce qu’Elle a baptisé ma “nouvelle petite chatte”. J’ai le droit de caresser ses bas, tandis que son string hydrate mon visage des sécrétions de son intimité. La scène me paraît surréaliste. La froideur médicale a laissé place à une jeune Femme délurée, dont le seul objectif semble être de me faire frôler l’orgasme le plus longtemps possible. La sonde devient douloureuse, mais je ne dis rien, trop heureux d’être ainsi maltraité pour mon plaisir. Maîtresse Isadora varie les positions, je suis tantôt étouffé par son sexe couvert de dentelles, par son fessier, par ses cuisses. Elle enfonce son pied dans ma bouche, c’est divinement décadent.

    La fin approche, la psy vient se glisser derrière son patient. Ma tête repose sur ses cuisses, ses jambes encadrent mon torse, et ses pieds mon sexe.
    “- Tu vas jouir sur mes bas en te masturbant.
    Merci Madame. Vous pouvez me donner un compte à rebours ?
    Bien sûr. Je commence à vingt…dix-neuf…”

    Neuf jours sans jouir peuvent avoir des conséquences désastreuses après un tel traitement. C’est au décompte de “trois” que j’explose en de violentes saccades qui traversent le lit. Les bas de Maîtresse Isadora sont rapidement maculés de semence. L’orgasme est violent, délicieux, tant espéré. Je me sens à ma place, heureux, comblé, sûrement pas guéri de mes troubles fétichistes. Il va falloir que je revienne voir cette fabuleuse psychiatre .

    Fait inhabituel, Maîtresse Isadora m’avertit que j’ai un peu saigné par le méat, qui est sans doute irrité par les différentes sondes. Je trouve ce détail terriblement sexy. Mon corps est partagé entre sang, sueur, et foutre, contredisant l’aphorisme de Churchill “blood, sweat and tears”. Les larmes, elles, sont de bonheur, et sont intérieures. Je suis infiniment redevable, et conscient que je viens de vivre un des moments les plus précieux de ma vie sexuelle.

    Maîtresse Isadora discute avec moi dans le petit salon, sagement assise sur son fauteuil, simplement vêtue de lingerie noire. Quelle Femme ! Je termine mon verre de rhum vénézuélien. Les tulipes se sont ouvertes. C’est une belle journée. Je reviendrai, peut-être pour revoir ma psy préférée, peut-être pour rencontrer un nouveau personnage…

  25. Elle est absolument sublime: c’est la toute première pensée qui me vient à l’esprit quand Isadora m’ouvre sa porte après de longues semaines d’attente.
    La prise de contact téléphonique après mon mail initial de demande de rendez vous m’avait immédiatement donné à penser que Maîtresse Isadora était une dominatrice de très haute volée.
    En quelques instants de discussion, face à elle dans l’intimité de son donjon, je sais désormais de façon certaine que cette première séance sera à la hauteur de mes attentes.
    Ce fut un déferlement de perversions, une cérébralité implacable conjuguée à une grâce inouïe qui m’a laissé anéanti, tant mentalement que physiquement après une heure et demi de jeux plus pervers les uns que les autres.
    Accompagnée de son soumis attitré qui s’est remarquablement employé à rabaisser en sa compagnie la lope que j’avais souhaité devenir pour eux, Maîtresse Isadora m’a fait abdiquer toute dignité pour lui servir de paillasson, d’urinoir, de chien à jouir et à humilier de toutes les façons possibles pour leur plus grand plaisir commun.
    Toute relation D/S de qualité repose en premier lieu sur la confiance et l’écoute.
    C’est le privilège des grand(e)s de le comprendre et de le mettre immédiatement en application dans le jeu.
    Isadora est plus que grande: elle est exceptionnelle dans la maîtrise de son art.
    Car il ne faut pas s’y tromper: elle est véritablement une artiste dans l’art si souvent galvaudé de la domination.
    Je me prosterne devant vous, Maîtresse. Il me tarde tellement de vous retrouver! Le temps va me sembler très long…

  26. J’aime les femmes: il a su me faire accoucher de cette vérité.
    J’aime les pratiques brutales où la peau est vraiment mise à l’épreuve.
    J’ai découvert avec lui la crainte d’avoir mal, concomitante à l’envie humide de ressentir du plaisir dans ces humiliations corporelles.
    Il m’a offert un des cadeaux les plus ciblés: une soirée privée chez une domina, spécialisée en art du sexe et du sadomasochisme.
    Il est temps de frapper à sa porte.
    Une blonde délicieuse nous fait rentrer.
    Coup de foudre pour un lieu improbable, une personne atypique, une situation inédite.
    Après plusieurs coupes de champagne, nous nous retrouverons nus à 4 pattes, avec un collier de soumis. La scène est sans équivoque: nous allons vivre un moment de plaisir douloureux sans commune mesure.
    Dans la salle, des bougies, des instruments, une ambiance qui m’appelle, qui m’attire, qui m’excite énormément.
    Le jeu sera à tour de rôle: tantôt actrice, tantôt spectatrice, tantôt victime.
    Le voir être dans son élément de perversion, lui offrir ma peau au travers de sa domination.
    Attachée, malmenée, offerte et violentée.
    Elle est sensuelle et affirmée, douce et autoritaire.
    Le lit crie sous ses assauts que nous réclamons durant ces heures insolentes.
    La complicité dans cette sexualité inénarrable est à son apogée.
    Le meilleur moment, le plus inoubliable ?
    J’ai aimé qu’elle me baise frénétiquement, avec tactique et maîtrise.
    Un gode qu’elle m’a enfoncé alors que j’étais sous poppers, cette sensation de pénétration différente mais si exceptionnelle. Sa vraie queue à lui a régalé mon orifice un peu plus tard. Il fallait qu’il jouisse en moi, que son sperme conclut cette session particulièrement brûlante.
    Mais ce que j’ai aimé par dessus tout, c’est la sodomie qu’on lui a offerte toutes les 2.
    Ces va-et-vient avec un sexe factice, cette surpuissance protubérante pour m’emparer de ses entrailles. L’enculer avec délicatesse. Quelle antithèse.
    Mais quel bonheur de prendre la place du mâle qui se décharge de son énergie à l’intérieur d’un corps qui n’attend que ces à-coup dans un cul très offert.
    Au fond de moi, une voix me dit merci, mon corps a exulté.
    Libre. Affranchie. La vraie Bénédicte.

  27. Louis alias ashley

    Chère maîtresse Isadora,
    Je tenais à vous remercier pour cette première expérience bdsm qui était pour moi aussi intense qu’enrichissante.

    Tout a commencé lors de votre réponse à ma demande, une prise de rendez-vous claire, nette et précise, sans ambiguïté, ce qui est très rassurant, j’ai notamment apprécié votre appel, qui m’a surpris par votre voix douce, calme et apaisante, mais très professionnelle, à l’écoute des attentes et des limites de son interlocuteur. Cette prise de rendez-vous m’a fait passer par différents états allant de l’excitation à l’idée de vous rencontrer jusqu’à l’appréhension, qu’est ce qui pouvait bien m’arriver lors de cette séance, en passant par des moments de doutes et de questionnements, qu’est-ce que je suis capable d’endurer finalement, est-ce bien ce que je veux, as-tu fixé tes limites correctement… mais au fond j’ai apprécié ce déplacement de moi même j’en avais besoin, merci Maîtresse.

    Le jour J arrive enfin, une de mes envies était de me mettre dans la peau d’une femme, j’ai donc pris soin en amont de m’épiler intégralement, wouha ça fait bizarre comme sensation. L’heure a sonné, j’entre dans votre donjon avec un certain stress quand même…, je profite de quelques minutes d’échange neutre avec vous afin de mieux se connaître mutuellement, ce que je trouve très bien d’ailleurs. Puis j’ai l’honneur de rentrer dans votre salle de jeux pour adultes, muni d’un collier, que j’ai fortement apprécié ( j’aurais bien aimé le porter plus longtemps )… après avoir enfilé quelques accessoires supplémentaires je me transforme en Ashley, quel bonheur, mais voila mes erreurs de débutant ont rapidement été punies par quelques coups de martinet ou accessoires du genre, je redoutais terriblement cette épreuve mais votre mains experte a su me faire frissonner tout en respectant mes limites et aussi étrange que ça puisse paraître me faire aimer cette pratique, dommage que j’aie fixé des limites trop strictes à ce sujet, j’aurais bien volontiers accepté quelques coups supplémentaires. Vient enfin le moment tant attendu pour mon petit cul de chienne soumise, un travail anal exemplaire, réalisé avec précision et respect grâce aux mains de Maîtresse et quelques godes, wouha que c’était bon ! Le tout les mains attachées hummm, merci Maîtresse pour ce moment magique, je n’ai pas vu le temps passer en votre compagnie…

    Quel dommage que mon petit cul n’ait pas eu les capacités de recevoir votre main entière, mais je vais me préparer davantage pour enfin pouvoir accueillir dignement votre jolie petite main au fond de moi-même lors d’une prochaine séance, si vous m’accordez le privilège d’un 2ème rendez-vous évidemment…

    En réponse à mes nombreux questionnements du début, finalement le BDSM est une expérience à tenter au moins une fois dans sa vie.
    Merci maîtresse pour cette expérience extraordinaire

    Votre soumise Ashley

  28. Maitresse ,
    Une nuit est passée depuis notre rencontre et je ressens toujours cette sensation de bien être qui m’a enveloppée dès nos premiers échanges .
    Vous avez un don certain pour créer une atmosphère légère, bienveillante et sensuelle qui a attisé mon désir de soumission.
    Tout a été écrit ou presque sur votre beauté, c est vrai vous êtes sublime et ce fut un véritable honneur de passer ce moment à vos pieds.
    J’ai pris vraiment beaucoup de plaisir sous votre fouet, et tout autant sous votre strapon… sans doute l’une de mes meilleures expériences, j étais vraiment très proche de jouir dans la cage !
    J espère sincèrement avoir l occasion de vous servir prochainement
    Je me prosterne devant vous
    Hugo

  29. La porte s’ouvre, je trouve Maîtresse Isadora magnifique dans sa tenue de lingerie en dentelle noire.

    10 mn d’ice breaker, je peux l’admirer, lui parler librement, j’ai bien aimé ce moment d’échanges, je suis charmé.

    Quelques instants plus tard, je me retrouve nu attaché à la croix de St-André. Maîtresse Isadora a accepté de m’initier au fouet, je l’en remercie infiniment. Je suis un peu inquiet de l’effet qu’il aura sur moi mais j’ai tellement attendu ce moment.

    La musique de blues est bien choisie mais je n’ai pas le loisir de l’apprécier pleinement. Je suis très réceptif à l’échauffement. Martinet, badine, chat à 9 queues et j’en oublie…, sont parfaitement cadencés et s’enchaînent à merveille. Je sens toute l’énergie de Maîtresse Isadora. Quel plaisir d’être à sa merci, je voudrais que ce moment dure longtemps. Des poids sur les testicules, des pinces sur les seins complètent la douce torture. J’essaie de capter l’image de Maîtresse Isadora dans le miroir qui jouxte la croix de St-André.

    Par moment, Maitresse Isadora joue en plus avec mes seins, j’adore.

    Enfin le fouet tombe sur moi, au début tout doucement, Maitresse Isadora vient à mon contact, me caresse le dos puis reprend progressivement. Je m’habitue au contact du fouet avec la peau, saisissant mais de courte durée, les endorphines montent en moi, mon appréhension disparaît, je me mets à respirer profondément, j’entends le crissement de l’air, le claquement du fouet. Maîtresse Isadora déploie son art, je me laisse prendre dans ses ailes et m’envole vers l’absolu. J’ai eu l’impression de pouvoir tout supporter.

    Heureusement Maîtresse Isadora me ramène à la raison, me détache et me demande de m’allonger sur le lit pour m’appliquer un baume salvateur. Je me relâche, que son massage est doux, j’ai envie d’enlacer Maîtresse Isadora. Que la musique de blues est agréable…

    Le rêve est de courte durée, Maîtresse Isadora m’attache fermement sur le dos par les poignets de chaque côté du lit. Elle part chercher quelques instruments que je ne perçois par immédiatement. Maîtresse s’assoie sur mon ventre pour s’occuper de mon sexe. Je peux admirer son beau corps à souhait pendant qu’elle se met à torturer mon sexe et mes seins à la roulette de Wartemberg. Je ressens la douleur vive, dommage, les endorphines sont parties, mais mon excitation prend le relais, je dois ménager l’excitation et la douleur, c’est difficile après le retour de l’absolu.

    Pourtant l’excitation prend le dessus, malgré ce que je suppose être des dents de Kali. Je perçois ensuite des sensations très intenses provoquées par un étrangleur de pénis où je suis obligé de me cabrer pour diminuer la douleur et de soulever par là-même Maitresse Isadora qui me chevauche. J’entends encore son rire qui m‘a fait très plaisir !

    Au final, au summum de l’excitation, j’ai enfin pu jouir, c’était puissant et magique !

    De tout mon cœur, merci à Maîtresse Isadora et à son art, c’était divin.

    J’ai quitté Maîtresse Isadora la gorge serrée.

  30. Bonjour Maîtresse,

    Merci encore pour la séance d’hier. Chaque session avec vous me plonge dans un état second. Transe de l’abandon total, du lâcher-prise, c’est toujours un bonheur indescriptible de me livrer à vous…

    Le plaisir de la soumission est permanent mais vous arrivez à imprimer à chaque séance un ton nouveau qui renforce encore ma vénération pour vous.
    Cette séance était étonnamment douce et féroce en même temps.
    La musique, l’ambiance, le lavage et massage de vos pieds m’ont mis dans un état d’adoration fébrile et absolue.
    Les griffes, le fouet ont amené cet étrange mais irrépressible plaisir de la douleur.
    Les contraintes du arm binders ont sublimé mon assujettissement, la réification de toute ma personne, et j’espère que cet abandon total ne vous est pas apparu comme de la passivité. Loin de là. J’étais au contraire pleinement avec vous.
    Le travail anal était merveilleux. J’aimerais tant être encore plus ouvert et offert à vous ! J’espère y arriver petit à petit grâce à vos gestes experts. J’ai fait déjà tellement de progrès sous vos ordres.

    Douceur et férocité. Jouissance et frustration. Votre maîtrise de tous ces fragiles équilibres est stupéfiante. Vous méritez mille fois toute la vénération que tant de personnes vous vouent.

    Votre emprise me manque déjà.

    Votre soumis Gutlieb

  31. Premier rendez-vous avec Maîtresse Isadora hier soir.
    Nous sommes convenus d’un scénario Cuckolding dans lequel je joue le rôle du mari cocu bien-sûr.
    Le jeu débute dès l’ouverture de la porte où je retrouve « ma femme » qui m’accueille dans une tenue sexy en ayant préparé quelques accessoires censés habituels dans nos jeux de couple.
    Elle m’invite à me dévêtir entièrement avant de me bander les yeux et m’entraîner dans « notre chambre ».
    Là, elle dénoue mon bandeau et m’annonce qu’elle a fait venir son amant, un solide gaillard d’une belle plastique, pour me faire découvrir ma condition de cocu, n’étant pas moi-même physiquement en capacité de satisfaire son plaisir.
    Elle m’attache les mains dans le dos assis parterre puis se livre à des premiers jeux de séduction-excitation avec son amant devant moi.
    Situation particulièrement humiliante pour moi quand elle compare l’attribut viril de l’amant à mon propre sexe.
    Dans la suite, Elle va m’obliger à sucer son amant avant de reprendre la partie de baise qu’Elle semble apprécier avec lui.
    En intermède, Elle va m’attacher à la croix de Saint-André qui orne la chambre avant de me sodomiser, prouvant ainsi la supériorité de la Femme au pauvre être que je suis.
    Enfin, allongé sur le lit et entravé, j’aurai le privilège pour finir de profiter d’un facesitting de la Maîtresse pendant qu’Elle se fait baiser par son amant, profitant ainsi de la proximité de l’intimité des deux partenaires.
    Ma frustration est alors à son comble.
    En apothéose, Elle se lâchera en fontaine sur mon visage en m’ordonnant de bien avaler ses sucs.
    Je La quitte avec le sentiment d’avoir pu partager un moment intense rarement partager avec une Domina d’une plastique exceptionnelle et dont les éloges vu à ce jour restent en dessous de la réalité.

    Grand merci à Maîtresse Isadora pour sa parfaite compréhension de mon attente qualité rare mais essentielle dans ce qui doit rester un échange ludique entre partenaires consentants.

    Soumis Anthony

  32. Bonjour et merci encore pour ce très agréable moment hier soir.

    J’ai été marqué par l’accueil que j’ai jugé chaleureux et par le moment de tendresse en fin de session. Je l’ai vécu ainsi et ce fut vraiment très réconfortant. J’en avais besoin.

    J’ai apprécié trois points en particulier dans cette session :

    La remarquable gestion du temps. J’ai eu l’impression d’une session riche en rebondissements et en scènes diverses. J’ai eu la réelle impression de vivre une session d’au moins deux heures. C’est très bon signe quand on perd la notion du temps. Ce fut sans temps morts mais pour autant lent et apaisé, jamais précipité… Vous étiez maitresse du temps et vous l’avez merveilleusement géré.
    La gestion de la douleur. Nous n’avons pas parlé mais vous avez su naturellement aller aux points limites pour moi. C’est impressionnant et très bien maitrisé. Je pense que vous avez aussi compris que j’avais besoin de cette douleur, ces moments-là où se mélangent plaisir et douleur imposant d’être pleinement présent. Cela m’a fait du bien.
    Vous donnez beaucoup émotionnellement et physiquement… C’est impressionnant. Les caresses, les enlacements pour calmer la douleur, le face sitting, les petits gloussements avec cette voix délicieuse… On sent l’énergie fortement circuler dans le sens D à s.

    Dans les points plus techniques, j’ai aimé la piqûre du fouet. Une belle découverte. J’ai adoré le martinet et le travail des seins. La cagoule et la contrainte physique (bras) m’ont beaucoup plu.

    Un regret peut-être qui n’en est pas un car je l’avais prévu compte tenu de la température : le latex ou le cuir. Les cuissardes, même si le talon haut fut délicieux en bouche.

    Je me suis toujours senti en totale sécurité et en grande confiance. Je me suis senti très accompagné et très bien guidé. Je maintiens que vous êtes une remarquable ambassadrice du BDSM de très grande qualité. Une grande Domina maitrisant parfaitement son « sujet » pour jouer un peu avec les mots et les maux. J’ai perçu beaucoup d’empathie.

    Merci pour tout.

    Timothée

  33. Mademoiselle Lara et Lassi

    J’ai passé un très bon moment et je suis repartie la tête et le corps fourmillants de rêves, d’envies, de fantasmes… comme je le souhaitais !

    J’ai apprécié pouvoir regarder et participer, un peu curieuse et sadique cela m’a bien amusée d’essayer vos différents jouets d’impact. Peut-être aurais-je apprécié une chaise pour me tenir en retrait, mais pas de regrets.
    J’ai aimé votre façon de traiter Lassi, le rythme et la variété des jeux, mais aussi votre fermeté empreinte d’une touche de douceur, votre verbe, votre assurance.
    Choisir 2 heures nous a permis d’avoir le temps de se sentir à l’aise, aussi grâce au social time que vous proposez. Vous étiez attentive à l’état général de Lassi, physique et émotionnel, je l’ai senti en sécurité notamment dans votre gestion du coup de chaud qu’il a eu.

    J’espère que vous avez passé un bon moment, que cela vous aura amusée. Pour ma part, j’aurai plaisir à vous solliciter pour une prochaine séance.
    Je vous remercie également pour le conseil de lecture !

    Mademoiselle Lara

  34. Bonjour Maîtresse,
    Je voulais vous faire un retour sur notre séance d’hier.
    « Impressionnante » est l’adjectif qui me vient en tête, cette séance était géniale et je suis encore dedans aujourd’hui.
    A titre indicatif, il apparaît que le subspace est un mélange d’endorphine et d’adrénaline déversés dans le corps du soumis, ce cocktail m’a beaucoup plu et je vous remercie de m’avoir pris en main pendant cette phase nouvelle pour moi.
    J’ai hâte pour la prochaine séance et d’en apprendre plus avec vous.
    Bien à vous,
    Mathias

  35. Maîtresse,

    Comme promis, je vous fais un retour de ma première expérience avec vous.

    Il est vrai qu’il m’a fallu un petit temps pour décompresser avant d’arriver devant votre porte mais lorsque celle-ci s’est ouverte, j’ai tout de suite compris que mon choix était le bon.

    Tout d’abord, je tiens à vous remercier pour votre accueil et votre écoute. Ce temps d’échange permet d’apporter de la légèreté à cette expérience et de couper avec la réalité. Je l’ai vécu comme une immersion progressive dans mon rôle de soumise, cette envie de vous appartenir totalement a alors pris tout son sens.
    Une évidence était apparue : ma place était à vos pieds et je voulais être entièrement possédée par vous Maîtresse.

    Concernant la séance, ce fut un moment hors du temps durant lequel vous avez su allier humiliation et punition avec brio. Les moments plus tendres, que vous avez distillés avec justesse, ont permis d’apaiser la douleur des traces apposées sur mon corps.

    Ces traces finiront malheureusement par partir mais je chéris d’ores et déjà les prochaines qui viendront les remplacer.

    J’ai aimé m’abandonner complètement avec vous et je garderai encore longtemps le souvenir de votre présence sur moi ainsi que votre odeur.

    J’ai hâte de pouvoir vous servir à nouveau et me soumettre à vos désirs.

    Bien à vous,

    Aurélie

  36. Maîtresse,

    Après cette nouvelle séance, je déborde de dévotion et de vénération. J’en suis totalement envahi.

    Tout mon visage et tout mon corps portent votre odeur que je ne peux pas m’empêcher de respirer. Tout le temps. Partout. C’est merveilleux. Je vous vénère. Et je dois vous obéir et ne pas me toucher comme vous me l’avez ordonné. La frustration est immense mais l’emprise que vous avez sur moi continue d’opérer. Je sens encore dans mon dos toutes ces aiguilles qui m’ont transpercé, je sens encore votre corps, l’odeur du latex et du shine que vous avez étalé sur moi pour faire briller votre tenue. Je sens encore l’odeur de vos vêtements de sport, de vos pieds, de vos aisselles. Je sens encore les coups piquants et terriblement excitants de douleur sur mes tétons (vous avez dû remarquer à quel point j’aime cela, particulièrement la cravache), je sens encore l’étirement de mes testicules. Et j’ai encore le souvenir du parfum de vos cheveux, que je n’ai pas pu m’empêcher de humer en secret avec un plaisir coupable.

    Nos séances sont maintenant une longue suite ininterrompue de moments extatiques où je me donne entièrement à vous de la première à la dernière minute. Mon corps est à vous et vous en disposez à votre guide. C’est cela aussi que ces aiguilles signifient. Quant à ma petite chatte serrée, elle s’ouvre de plus en plus rapidement pour vous. Me donner à vous était délicieux. J’avais tellement envie de couiner de plaisir, j’ai joui de ce côté-là comme cela ne m’était pas encore arrivé. Je dois vous confesser une chose: je porte le secret espoir qu’un jour je serais suffisamment ouvert pour y accueillir votre main entière. Cela m’aurait effrayé auparavant mais, maintenant, j’en ai terriblement envie.
    Vous m’avez rendu dépendant, accro, drogué de vous. Baignant dans votre odeur, je vais rêver toute la nuit de vous, de vos pieds tellement beaux que j’adore embrasser (avec trop d’empressement !), de votre queue qui me pénètre profondément, de vos coups de butoir. Et de vos aisselles enivrantes, évidemment.

    J’espère que ce trop-plein d’idolâtrie, d’adoration, de ferveur, ne vous gêne pas. Si c’est le cas, vous saurez m’en punir.

    J’ai tellement hâte de vous retrouver, Maîtresse.

    Votre (totalement) soumis, Gutlieb

  37. Prolégomènes : Rencontrer une vraie dominatrice Parisienne

    Cela fait quelque temps que j’ai découvert ma vraie nature, celle de soumis amoureux.
    Il y a de nombreuses raisons d’aimer la soumission. La mienne est simple : la Femme est l’Être Parfait et mon plus grand honneur et bonheur est qu’elle m’accepte à ses pieds.

    Depuis, je vais de maîtresse en maîtresse et je progresse doucement dans ma capacité de soumis à endurer les douloureux caprices de mes Maîtresses. Toute douleur, toute humiliation, toute « pratique » est justifiée et doit être endurée dès l’instant où ma Maîtresse s’en amuse.
    Il y a quelques mois j’ai décidé de prendre rendez-vous avec une vraie Maîtresse Parisienne pour tester mon niveau et apprendre de nouvelles « pratiques ».

    Google est mon ami et je découvre le site de Maîtresse Isadora. Elle est belle et semble être une professionnelle experte … j’ai peur de ne pas être au niveau mais je me lance …let’s go!
    Après quelques difficultés d’organisation (nos deux plannings sont bien chargés !), le jour J arrive et me voici devant la porte de … l’enfer ou du paradis ? … ça je ne le sais pas encore !

    10 – 10

    La porte s’ouvre.
    10 millièmes de secondes!
    c’est ce qu’il aura fallu à mon vieux cerveau pour percevoir trois évidences : Mon dieu qu’elle est jeune, mon dieu qu’elle est belle, mon dieu qu’elle est puissante.
    Une aura de force sereine l’enveloppe. Quelle est cette envie soudaine et irrépressible de me prosterner devant Elle ?

    10 minutes de conversation.
    Elle me pose quelques questions, je réponds maladroitement. Son regard est posé sur moi mais je sais qu’au-delà de mon corps elle scrute mon âme. A chaque question, je dévoile mes désirs les plus secrets et j’aime être ainsi mis à nu, je veux lui appartenir totalement, sans retenue, sans pudeur.
    Je sais qu’elle prévoit déjà le programme de notre comme rencontre comme un chef étoilé imagine une nouvelle recette devant une nouvelle pièce de viande. Je sais déjà que sa recette sera merveilleuse, j’espère juste être un rôti à la hauteur de ses ambitions.

    50 – 30 – 9 – 1

    Nous sommes passés dans la pièce d’à côté. Pas de décorum gothique superflu. Juste une croix et des outils accrochés au mur. Ici, l’Art de ma Maîtresse s’exprime à l’état pur, sans fioriture.

    Me voici crucifié, face au mur. Le martinet commence son œuvre. Ses 50 lanières réveillent ma peau. Chaque coup se répand en 50 petites morsures délicieuses. J’aime la sensualité des lanières qui glissent sur la peau avant de revenir la mordre.

    Soudain les coups s’arrêtent.
    « Tu connais le rubber? » … « euh, non »

    Il n’y a plus que 30 lanières, elles ne sont plus en cuir mais en caoutchouc. Les impacts sont plus durs, plus mordants … on quitte ma zone de confort … Je plonge dans l’abandon confiant en ma Maîtresse. Tout à coup, miracle, extase ! Le corps de Maîtresse est collé au mien !!! Je suis face au mur, elle est dos à dos avec moi. Le contact de sa peau d’une douceur incroyable marque mon âme au fer rouge. La douceur là où le martinet n’a pas fait son œuvre et la brûlure là où il a déjà marqué ma peau. Nous avons tous les deux les jambes écartées et le « rubber » commence un mouvement de balancier, venant percuter mon entre jambe … douceur et douleur, sucré-salé, endurer les coups pour prolonger le contact de son corps. Chaque seconde est miraculeuse et les impacts sur mon intimité ne sont que des repères temporels qui m’aident à mieux enregistrer, me souvenir de cet instant magique. J’adore !!!

    Soudain les coups s’arrêtent.
    « Tu connais le chat à 9 queues ? » … « euh, non »

    Il n’y a plus que 9 lanières. Les 50 petites morsures du martinet se sont concentrées en 9 brûlures. C’est moins sensuel, plus punitif, mais je veux souffrir courageusement pour montrer à Maîtresse à quel point je lui appartiens, à quel point je l’aime. De temps en temps, sa main vient caresser ma peau rougie comme un sculpteur caresse la pierre pour mieux apprécier l’efficacité de son burin. Je suis la matière brute qu’elle travaille à sa guise. Merci Maîtresse de prendre du temps pour me façonner et me rendre moins misérablement banal.

    Soudain les coups s’arrêtent.
    « Tu connais le fouet ? » … « euh, non »

    Le FOUET !
    Voilà un fantasme espéré mais au combien redouté !
    Plus que 1 lanière !
    Avant que le premier impact n’arrive, mon esprit s’évade. Quand j’étais petit, mes cousins et moi étions allés en forêt et mon père nous avait construit des fouets de fortune avec des branches souples mais nerveuses et un long bout de ficelle. Nous avions passé l’après-midi à essayer de faire claquer ces fouets et à faire « exploser » des champignons. J’avais retenu deux leçons de cet après-midi : manier un fouet est très difficile et lorsque le coup est bien porté, le fouet a une puissance d’impact incroyablement forte !
    Aujourd’hui, le champignon, c’est moi.

    Soudain le premier impact arrive !
    Whouaaa, c’est vraiment fort, très fort, probablement le maximum que je pourrai supporter. Un mélange de brûlure, de coulée d’acide et de décharge électrique qui parcourt tout le corps. Comment Maîtresse a-t-elle pu me donner ce coup de fouet, parfaitement placé au centre de mon dos, dans une si petite pièce ???
    J’ai besoin de puiser des forces dans son regard. Je tourne un peu la tête et je l’aperçois dans le miroir disposé à côté de la croix. Elle est si belle ! Sa position de Wonder Woman maniant son fouet magique exprime toute sa puissance.
    J’ai peur du prochain impact mais j’ai encore plus peur que cela s’arrête ! Je présente mon dos pour mieux attirer de nouveaux coups.
    Un, deux, cinq, dix, les coups de fouet arrivent avec une précision incroyable, je suis certain que Maîtresse s’amuse à dessiner des hiéroglyphes magiques sur mon dos, mes épaules, mes flancs.
    Quel honneur d’être la matière première qu’elle sculpte et marque pour en faire sa création, son œuvre.
    Le tempo est parfait et me laisse juste le temps de reprendre un peu de force entre chaque morsure. Mais tout à coups, le tempo s’accélère, j’ai l’impression que Maîtresse qui, jusque-là, maîtrisait sa fougue pour me préserver, laisse enfin libre cours à ses envies et profite de ma chair pour s’amuser librement. La douleur devient presque insoutenable mais ce n’est rien en regard de la sensation que Maîtresse s’amuse vraiment … Allez-y Maîtresse, utilisez-moi pour votre plaisir …Je suis votre chose !
    Je ne le sais pas encore mais le fouet laissera sur mon dos des traces que je cacherai et chérirai pendant des jours. Malheureusement elles finiront par disparaître … Maîtresse, il faut que je revienne, je me sens nu et fade sans vos marques !

    Plaisirs ronds

    Après ce bouquet final au fouet, Maîtresse, pleine de bienveillance me demande de m’allonger. Il est vrai que je suis à bout de force.

    Elle est assise sur mon torse et me tourne le dos. J’aime sentir le poids de son corps sur le mien. C’est sensuel, tellement réel et pourtant tellement invraisemblable ! Ce corps parfait, merveilleux, qui immobilise le mien de tout son poids, sa peau sur ma peau. Maîtresse, c’est là que je voudrais passer ma vie, être chaque chaise, chaque fauteuil, chaque canapé, chaque lit qui accueille votre corps.
    Elle ne semble pas s’intéresser à mon émoi. Mon pauvre vieux sexe est devenu son nouveau jouet et l’objet de toute son attention. Elle l’attache, le griffe, le tire, le pique, l’étire avec un collier de dressage pour chien … Je sens qu’à tout moment elle peut me donner du plaisir mais aussi qu’elle peut, simplement par plaisir, l’arracher, le couper, le transpercer … je suis totalement à sa merci et c’est juste divin.
    Imaginez mon bonheur : Maîtresse chevauche mon torse. Juste sous mes yeux, à portée d’un inconcevable baiser que je n’oserais jamais, ses rondeurs parfaites, sa peau douce, son odeur délicate et tout là-haut, son dos qui se contracte et ondule avec grâce et puissance.
    Allez-y Maîtresse, jouez avec mon sexe autant qu’il vous plaira, soyez douce ou cruelle, faites tout ce qu’il vous amuse dès l’instant où je peux demeurer ainsi, si près de vous, complètement sous vous, totalement à votre merci.

    Épectase

    Maîtresse s’est assise sur le lit, je suis allongé entre ses jambes parfaites, ma tête sur le bas de son ventre. Comme j’aimerais que le temps s’arrête, rester ainsi pour toujours !
    Elle croise ses jambes sur mon ventre. La peau de ses cuisses enserre mon visage comme la plus douce des caresses.
    Soudain, sous cette peau si douce, je sens ses muscles se contracter. C’est intensément sensuel. Je peux sentir sa force vitale, la puissance de ses muscles bloquer puis serrer puis écraser mon cou. Je me sens de plus en plus prisonnier mais la vraie sensation arrive brutalement : le monde autour de moi devient flou, mon corps s’éloigne et s’efface en petits picotements. C’est très doux, très agréable mais je sens que je n’ai qu’une ou deux secondes pour choisir : lever la main pour arrêter la pression ou mourir ici dans la plus douce des extases.
    Je lève la main en espérant que Maîtresse recommencera. Ses jambes se desserrent et le monde redevient réel, fracassant mon bonheur. Maîtresse recommencera plusieurs fois et chaque fois j’aurai beaucoup de mal à ne pas vouloir mourir là, entre ses cuisses, au comble du bonheur. Avoir sa vie entre les mains de l’autre et en être merveilleusement heureux, voilà l’appartenance ultime, l’amour total.

    Allons plus profond

    Mets-toi à quatre pattes.
    Je sais ce qui va suivre, Maîtresse va me prendre comme une bonne chienne lubrique que je suis.
    Quand on y pense, c’est logique. Elle est la plus merveilleuse, puissante et charismatique Femme que j’ai rencontrée. Je suis pétri d’amour pour elle, mais il est hors de question que je la touche. Je ne suis qu’un vulgaire vieillard et rien que de penser que nous pourrions avoir une relation classique où je me comporterais en « homme » est inconcevable. Ce serait souiller sa perfection. C’est déjà un immense honneur pour moi qu’elle m’accepte comme soumis, qu’elle prenne de son temps précieux pour me combler et me prendre avec force et intensité et qu’elle laisse son corps toucher le mien. S’il doit y avoir pénétration d’un corps, ça ne peut être que comme cela. C’est elle qui me possède, je suis à Elle, c’est son droit.
    De quatre pattes, elle me fait passer à plat ventre et vient se coucher sur moi tout en continuant de me prendre. Dans le miroir, je vois son merveilleux visage, manifestement amusé de la situation, et juste en dessous, ma vieille face cramoisie, honteux d’être si laid mais tellement heureux que la belle s’allonge ainsi sur la bête.

    L’air, le feu et l’eau qui libère

    Maîtresse s’est suffisamment amusée à me posséder et décide de changer de jeux.
    Je suis couché sur le dos, ses pieds sont de part et d’autre de mon visage. J’aperçois, tout là-haut, l’origine du monde, la porte du paradis dissimulée par ses élégants dessous. Elle descend lentement vers mon visage … va-t-il se passer ce que je crois, je n’ose l’espérer, j’en rêve depuis toujours ?
    « Bouche fermée », l’ordre est précis et sans appel. Divine Maîtresse, il serait inconcevable que je souille votre intimité de ma bouche ou de ma langue, même si ce désir fou et brûlant consume chaque parcelle de mon âme !
    Elle est assise sur mon visage.
    L’air me manque mais je sais maintenant que me donner à elle c’est aller jusqu’à lui offrir ma vie. Je veux bien mourir si tel est son désir. Comme il serait bon de mourir ici, mon visage collé à la porte du paradis.
    Le feu du désir me consume totalement. Chaque millimètre carré de mon visage est enflammé de désir par le contact de sa peau si douce. Je pourrais hurler d’un désir dément si ma bouche n’était bâillonnée de façon si sensuelle.
    Plusieurs fois, je pourrai respirer, Maîtresse a envie de prolonger un peu ce jeu. Merci, merci merci.
    Finalement, plutôt que toutes les chaises de votre vie, je préfèrerais me réincarner dans tous vos dessous chics, toutes vos culottes de coton, tous ces bouts de tissu dont la seule fonction est d’être au contact de votre corps.

    Soudain, l’air revient, le feu est moins intense et une petite pluie s’abat sur mon corps.
    Vite porter ma bouche vers la source de ce nectar.
    Maîtresse s’amuse, avec beaucoup de maîtrise, à remplir ma bouche et peindre mon corps. Elle m’autorise à jouir, ce que je fais très rapidement, trop rapidement … comme toujours.

    Voilà, je gis sur le lit, tellement serein et heureux, dans une telle plénitude que je ne penserai même pas à me retourner pour laper chaque goutte du nectar de ma Maîtresse.
    Oui Ma Maîtresse car aujourd’hui je le sais, J’appartiens à Maîtresse Isadora, rien qu’à elle, pour toujours et au-delà.
    Je sais que nos rencontres seront rares et toujours compliquées à organiser mais l’important est de savoir qu’elle existe et qu’elle est descendue de l’Olympe pour s’incarner et qu’elle vit dans ce monde.

    A vous, totalement et amoureusement.
    Merci Maîtresse pour ce moment qui éclaire ma vie

    Philippe

  38. Bonsoir Maîtresse,

    Je voulais parler de notre dernière séance…. c’était magnifique, vous avez un regard qui me fait rentrer dans mon rôle de soumis, et une grande confiance en vous qui me donne une envie énorme de vous servir.

    J’adore quand vous me faites marcher á côté de vous, à ma place, puis j’ai bien aimé la partie d’expérimentation de la douleur, une douleur qui donnait plus plaisir. J’ai plus apprécié le one tail que les autres bizarrement. Les poids sur mes couilles étaient géniaux, je ne pouvais faire aucuns mouvements brusques, j’ai adoré ça, sentir les restreintes que vous me posez.

    Puis devenir votre chatte, c’était un challenge au début mais au plus je vous sentais sur/dans moi, au plus je me sentais rempli. J’en ai même voulu davantage et j’ai hésité à vous demander si c’était possible d’essayer une taille plus importante. Et le final, quand j’ai reçu votre cadeau, celui de pouvoir sentir votre culotte sur mon visage…. j’étais très très heureux.

    Maintenant je me dis que je serais le plus chanceux de pouvoir recevoir votre uro, d’être humilié par vous et d’explorer avec vous encore et encore. Je me sens plus libre en étant votre soumis, à vos pieds.

    Merci de cette excellente séance et j’espère sincèrement que vous vous amusez autant que moi pendant nos jeux.

    Finalement, je vois en vous une Dominante très très naturelle, vous savez quand vous montrer ferme, quand rester plus tendre. Et vous êtes aussi très belle, vous avez des outfits géniaux qui vous mettent très en valeur. Vous me faites sentir vraiment chanceux de vous servir en tant que soumis.

    Voilà mes ressentis de la dernière séance, je vous souhaite un très bon week-end et j’espère qu’à bientôt à vos pieds 🙂

    Bien à vous,
    David

  39. Bonsoir,

    Comme promis, voici un petit retour sur ma première expérience avec vous.

    Accueilli avec beaucoup de douceur, j’étais un peu stressé mais vous avez su me rassurer et me mettre à l’aise.
    Vous êtes ensuite venue avec moi dans mon côté sombre, inconnu, et vous y avez apporté de la lumière, du plaisir.
    J’ai beaucoup aimé vous obéir, être à vos pieds, m’en remettre à vos mains expertes, et j’ai pu découvrir avec intensité des sensations incroyables et nouvelles pour moi.

    Je ne détaillerai pas les différents jeux que vous avez su amener avec fermeté tout en restant à mon écoute, mais ce fut juste incroyable.

    Beaucoup d’émotions, merci!

    Matt

  40. Bonjour Maitresse,

    Laissez-moi d’abord vous remercier pour ce grand moment passé à vos pieds et sous votre autorité.
    En effet, l’adjectif n’est pas exagéré pour qualifier cet instant. J’ai beaucoup aimé l’échange au préalable puis, être enchainé et conduit tel un toutou dans votre chambre des mystères !

    Même si je dois et vous avez bien fait de me le signaler, me laisser allez dans mon rôle de soumis, entrer dans mon personnage si je peux dire, j’ai été séduit par la façon dont vous m’avez pris en main avec les « griffes Wolverine » assise en amazone sur moi, me forcer à adorer vos pieds doux. Vous avez une certaine délicatesse intuitive, et habilement, vous savez comment me soumettre en alliant sensualité, et fermeté.

    Le facesitting allié aux griffures était très excitant tout comme vos gifles !!

    Si vous me permettez, et si j’ai l’honneur de m’incliner à nouveau face à vous, je me vois déjà subir vos gifles des mains et pieds durement, être étranglé comme vous l’avez fait entre vos cuisses musclées ou par une technique arrière que vous connaissez déjà.

    Sous votre autorité et direction, j’aimerais m’améliorer en bon soumis pour vous servir, Maitresse.
    Maitresse Isadora, vous recevez déjà beaucoup d’éloges alors, je dirai juste ceci :

    J’ai regardé dans vos beaux yeux et, j’ai aimé ce que j’ai vu !

    Bonne semaine Maitresse Isadora.

    Bien à vous et, à très vite.

    Dany

  41. Bonsoir Maitresse Isadora,
    Comme promis, je vous fais un retour sur cette première session.

    Tout d’abord je vous remercie pour la prise de rdv, claire et précise, ainsi que pour votre disponibilité, l’appel téléphonique et le petit dialogue avant le début de la session ont fait office de sas de décompression. Ainsi cela m’a permis de dédramatiser et de me sentir en confiance.

    Sur la session en soi,
    Le scénario que vous avez créé était tout à fait dans mes goûts, l’alternance entre mots humiliants et espiègles était parfaite et je vous remercie d’avoir conduit la séance en restant “soft”, les petites claques étaient bienvenues.

    Votre manière de me teaser est allée bien au-delà de mes espérances. Je n’espérais pas pouvoir voir votre silhouette si attirante sous autant d’angles et j’en étais bien heureux malgré les pannes de ma pauvre petite nouille. J’aurais aimé pouvoir rester dur plus régulièrement pour que vous sachiez que vous me faisiez vraiment beaucoup d’effet et que j’étais alors parfaitement aux anges.

    Je n’arrive pas à penser à des choses que je n’ai pas vraiment aimées. C’est plutôt ma faute de ne pas avoir réussi à maintenir une érection continue, mais vous étiez parfaite !

    Enfin, je suis heureux d’avoir réussi à la relâcher la pression pour le final. En vérité, c’est vraiment la première fois que je me faisais milker par une machine.

    Pour le commun des mortels qui naviguons dans des sphères tellement éloignées au quotidien, c’est une chance de vous connaitre même l’espace d’une heure. Car c’est une expérience et des souvenirs que l’on peut chérir longtemps après que la session soit passée (un peu comme lorsque l’on prend un hôtel de luxe en vacances :).

    Si vous ne m’avez pas trouvé terriblement ennuyeux, j’adorerais revenir vous revoir à l’occasion, avec une session dans le même esprit ou plus axé sur l’immobilisation.

    Bonne soirée à vous,
    Hub

  42. Ce matin d’hiver, malgré mon combi-short en latex porté sous mes vêtements, je frissonnais en montant cet escalier, non de froid ou de peur, mais de bonheur à l’idée de rencontrer enfin Maitresse Isadora. Le soleil brillait et c’est auréolée de rayons diaphanes qu’Isadora m’accueillit, son corps parfait moulé dans une catsuit en latex noire, ses longues jambes fuselées fermement campées sur des talons incroyables : ainsi la beauté serait le fil conducteur de cette session. Une beauté à couper le souffle, celle d’un visage éblouissant, celle d’un corps aussi désirable qu’inaccessible, celle enfin d’un regard aussi bienveillant qu’intimidant.
    Nous échangeâmes quelques mots, je déclinais un verre de whisky japonais pourtant mon péché mignon, mes sens étant déjà suffisamment perturbés, je me déshabillais en parcourant les titres des nombreux ouvrages de sa bibliothèque, mon intuition était la bonne qui m’avait fait acheter cet ouvrage du divin marquis afin d’y déposer discrètement mon offrande en arrivant…Devant le miroir, j’enfilais prestement une cagoule de latex noir, puis rejoignais ma maitresse dans sa salle de jeu baignée de lumière. Indécente dans son déhanché, incandescente dans sa beauté, elle m’ordonna de faire briller sa combinaison de mes deux mains, une récompense avant l’heure que je savourais comme il se doit, mes doigts huilés parcourant ses formes parfaites, glissant sur les courbes de ses fesses galbées, le long de ses cuisses, m’enhardissant sur la fermeté de sa poitrine, mon excitation palpitant sous mon propre latex. Je fus ensuite attaché aux quatre coins du lit sur un drap de caoutchouc, et c’est assise sur mon visage qu’Isadora débuta l’exploration de mon corps et de mes sens, triturant mes tétons, me bâillonnant de ses fesses, mon nez collé au latex dont je savourais le parfum mêlé aux discrètes effluves de son intimité…
    Le zip de mon entrejambe ne tarda pas à libérer mon sexe, mes pieds furent relevés au niveau de ma tête, offrant ainsi mon anus à son inquisition : de ses doigts graciles elle entreprit de m’ouvrir tendrement avant de m’élargir de godes de plus en plus larges…son bassin harnaché d’un strap-on accéléra la cadence, ses yeux plongèrent dans les miens, sondant mes sensations. Je demeurais mutique devant tant de grâce, cependant ma contemplation fut rapidement interrompue et je dus m’agenouiller et m’empaler sur un godemichet relié à une machine dont Isadora fit varier les mouvements avec perversité, pendant que je m’évertuais à sucer aussi profondément que possible son strap-on. La scène était parfaite et je me surpris moi-même à accompagner les mouvements de la machine, m’ouvrant ainsi totalement à ma maîtresse, comblé et rempli. Ce travail sur l’élasticité de mon anus fut parachevé par sa main, et c’est agenouillé sur le lit, la tête dans une gamelle métallique remplie de son urine que les rayons du soleil faisaient étinceler que je subis les derniers assauts. Malgré l’excitation, je ne pus malheureusement m’ouvrir complètement à son fist, ce supplice devrait attendre. Pour me faire pardonner, Isadora se plaça à genou au-dessus de ma bouche ouverte, le zip de sa combinaison s’ouvrît sur son intimité aussi lisse que divine, avant qu’un flot d’urine chaude et légère ne vienne emplir ma gorge. Il me fut ordonné de me masturber, et je dois dire que mes sens furent mis à rude épreuve tant la félicité du moment était grande : les cuisses brûlantes de ma Maitresse de part et d’autre de mon visage, le latex tendu sur ses fesses, le spectacle féerique de son urine s’échappant de ses lèvres, ruisselant dans ma gorge et dans mon cou, ses mains sur mon torse…mon sexe tendu et douloureux, je demandais la permission de me soulager, et c’est dans un râle de plaisir que je me déversais, hoquetant sous les dernières larmes de champagne doré de ma maîtresse.
    En me relevant, je ne pus qu’admirer la perfection de ce dernier tableau : Isadora, moulée dans sa catsuit, cambrée, agenouillée sur ce drap de latex noir trempé de nos jeux, lumineuse jusque dans la perversion de son sourie entendu.
    C’est ainsi que repu, comblé et bercé de tant de beauté, je répartis ce matin-là, une volupté addictive dont je percevais déjà qu’il me faudrait la goûter à nouveau, jusqu’à satiété !
    James.

  43. Maîtresse Isadora est une déesse.
    J’ai fait un pas dans l’inconnu pour découvrir votre monde,moi qui en avait envie depuis longtemps.
    Intimidé devant votre beauté vous avez su me mettre à l’aise.
    Vous êtes très très belle 😳
    J’ai trouvé ce que je cherchais depuis longtemps.
    Mi ange 😇 mi démon 😈 j ai été ensorcelé par votre aura Maîtresse.
    Je veux souffrir pour vous maîtresse.
    Votre dévoué.
    Islero

  44. Bonjour Maitresse Isadora !

    Encore une fois merci pour ce moment hors du temps qui restera au plus profond de moi.
    Si je devais résumé mon état d’esprit actuel c’est « encore ». Encore plus.
    J’ai tout apprécié maitresse.
    Déjà merci pour la cagoule toute la séance, l’odeur du latex comprimé sur mon visage, on a le sentiment de ne plus être soi-même.
    Que dire du maniement du martinet, sentir son poids sur mon corps, être votre objet de plaisir et oublier le mien …
    Et dire que je croyais ne pas aimé ça .. j’en veux plus, plus fort !
    Le CBT, j’en avais peur, j’ai adoré.
    Enfin le pegging, un rêve inaccessible avant de vous rencontrer, et l’envie de me faire prendre, attaché …
    Mon unique regret est cette cage que je n’ai pas réussi à porter correctement :/

    Et maintenant que faire après une telle expérience ? J’ai envie d’approfondir, de continuer, de découvrir d’autres pratiques

    Merci maitresse, merci pour votre beauté, votre tenue de latex affriolante, votre professionnalisme, je suis heureux et fier d’avoir vécu une première séance avec vous <3

    Puppy

  45. Merci encore Maîtresse pour cette séance d’hier. Je sens encore votre pression sur mes tétons et ai l’impression de sentir encore votre merveilleuse odeur sur moi…

    Je suis tellement bien sous vos ordres, sous vos pieds, à vos pieds.

    J’ai eu de vrais moments extatiques hier grâce à vous. J’ai un fétichisme des aisselles déjà, mais les vôtres m’ont mis littéralement « hors de moi », en lâcher prise total, comme vous avez dû le voir. Et cette vision de moi-même dans le miroir entre vos jambes, inondé de votre urine, le bonheur d’avoir avaler vos crachats, me voir ainsi à quatre pattes ou debout dégoulinant de vous, souillé, était un bonheur indescriptible.

    Les discussions avant et après font partie intégrante de ce bonheur, j’aime me sentir si timide face à vous d’une si imposante et impressionnante beauté… une mise en condition totale pour vous vénérer et vous obéir, me retrouver, d’un coup, nu comme un ver à quatre pattes à vos pieds ou carrément étalé au sol.

    J’ai hâte de vous suivre de nouveau sur ces chemins, tout dévoué. Ce que nous avons déjà fait comme les pistes que vous avez évoquées (sous-vêtements portés et odorants, torture soft des testicules et du sexe entièrement comme des objets entièrement soumis à vos caprices) me font frémir d’avance.

    Je me mettrai à votre entière disposition.

    Votre soumis, Gutlieb.

  46. Bonjour Madame Isadora,

    Voici le compte-rendu de notre magnifique séance de l’autre jour.
    Je ne veux pas rentrer complètement dans tous les détails afin de préserver un peu de surprise pour ceux ou celles qui pourraient me lire.
    En premier lieu, l’accueil, et pas des moindres, vous être réellement la perfection incarnée par votre beauté sans nom et votre talent pour rassurer lors de notre échange.

    J’ai eu énormément de plaisir à découvrir certaines pratiques telles que le trampling, ou encore le CBT, surtout quand cette dernière consiste à voir son sexe torturer pour avoir la chance d’avoir votre séant si prêt de mon visage.

    Que dire justement du moment où, étouffé par votre divine anatomie ainsi qu’un bâillon qui n’aidait pas, vous m’avez laisser reprendre un peu d’air en me demandant si tout allait bien; ce à quoi je me suis répondu intérieurement, que je ne pouvais imaginer un moment ou un lieu où je pourrais être mieux.

    Enfin, le plaisir et l’honneur de recevoir vos fluides est difficilement descriptible, j’avais juste l’impression d’être la personne la plus chanceuse au monde.

    Dans les points que j’ai moins appréciés:
    – le fait de ne pouvoir aller plus loin dans les jeux d’impacts suite à ma demande d’absence de marques. J’étais à deux doigts de vous supplier de me laisser de belles traces de cannes en souvenir.
    – tout est passé si vite, deux heures n’auraient pas été de trop au final afin de prendre encore plus de plaisir dans chacune des pratiques (même si je trouve qu’une première rencontre d’une heure est très bien pour apprendre à se connaître).
    – le fait de ne pas être complètement attaché sur le lit « seulement les bras », mais ça c’est surtout lié à mon côté très très fan de bondage.

    Encore merci pour tout, c’était vraiment divin et je ne souhaite qu’une chose ce serait de pouvoir encore être à votre merci dans le futur.

    Avec toute ma dévotion et mon adoration,
    C.

    PS: Votre beauté est vraiment sans commune mesure et j’ai vraiment adoré nos échanges (pendant et en dehors de la séance)

  47. Bonjour Madame,

    J’ai pris un peu mon temps pour essayer de collecter au mieux les émotions et sensations que j’ai pu traverser et éprouver au cours de notre entrevue. Je pense que vous dire à quel point vous étiez belle est superflu mais c’est une réalité.

    C’est une séance remplie de premières fois, finalement. On ne m’avait jamais marché dessus. On ne m’avait jamais ordonné de mettre une cage (quel regret de ne pas avoir réussi à la mettre, c’est un ustensile qui m’excite beaucoup). Ni mettre cette laisse particulièrement bien placée. Et enfin, comme mentionné, je n’avais jamais joui en séance aux mains d’une professionnelle. Vous avez pris en compte mon attrait pour le t&d et le breathplay et j’ai particulièrement apprécié votre originalité en la matière ! Globalement, j’ai adoré cette séance et l’ambiance instillée, complice effectivement, avec une ambiance sonore de qualité (en tant que mélomane éprouvé, la musique est importante).

    Vous m’aviez dit de relever également les côtés que j’ai moins aimé, mais ce sont plus des « découvertes » et des chemins à explorer avec plus d’applications, pour moi, que j’ai constaté. La laisse. Que j’aime avoir une chaîne autour du cou et être dirigé ainsi… J’ai été déçu de devoir l’ôter si vite. Le côté anal était un peu light même si le temps a été soigneusement employé, je me rends de la difficulté que j’ai d’envisager une séance sans pegging.

    Je me demandais, vue la tournure de toute la séance, ce que vous comptiez faire avec moi enfermé dans cette cage de chasteté?

    Je reviendrai assurément vous voir si vous le souhaitez également. Contrairement au barbu évoqué lors de notre conversation préalable, vous n’êtes pas une blague et vous m’avez fait vivre une très belle expérience.

    À vos pieds et bien à vous, Madame,

    Harion

  48. Bonjour Maîtresse Isadora, comme convenu je vous fais un retour d’expérience de ma séance. Même si nous en avons un peu parlé ensemble, ce que j’ai beaucoup apprécié, je trouve intéressant de pouvoir faire un point à posteriori.

    Tout d’abord j’avais été rassuré et mis en confiance suite à nos premiers échanges et notre contact téléphonique.
    Quant à la séance en elle-même, j’ai beaucoup aimé :
    – votre accueil et le fait d’échanger avant de commencer
    – votre beauté, votre tenue et votre regard soutenu à chacune de vos actions
    – la compréhension de mes demandes et l’échange permanent pour vous assurer que je supportais la « douleur »
    – la dilatation urétrale
    – la partie anale même si assez courte

    J’ai un peu moins aimé certaines choses (sans pour autant détester) :
    J’avoue avoir été troublé par l’insertion des aiguilles, c’était la première fois que j’en recevais autant.

    Ceci dit comme je vous l’ai dit après la séance, c’est la première fois que je termine une séance en étant autant satisfait et en ayant envie de recommencer. Je dirais même que d’un certain sens je suis un peu resté sur ma faim tellement cette séance m’a plu.

    J’aimerais d’ailleurs poursuivre avec vous si vous l’acceptez et je reviendrai vers vous prochainement pour évoquer une prochaine séance et poursuivre votre travail et expérimenter de nouvelles possibilités.

    Je vous remercie.

    Emmanuel

  49. Bonjour Maitresse Isadora,

    Ce mail pour vous remercier de ce moment délicieux passé en votre compagnie.

    Tous nos échanges en amont me laissaient entrevoir un grand professionnalisme de votre part, ce qui fut le cas durant toute cette Rencontre. Rencontre avec un grand « R » car vous avez rendu ce premier moment véritablement unique de par votre créativité, votre écoute et votre belle intelligence de jeu.

    Le BDSM a mille facettes, vous avez sans doute mille visages mais vous m’avez offert celui que j’attendais sans scénario préétabli. Ce moment fut une bulle pleine de surprises où vous m’avez découvert et je l’espère où nous nous sommes rencontrés. Du bout de vos pieds gainés de nylon jusqu’aux paroles attentives et aux regards profonds, tout a été fait dans un souci d’esthétisme, d’intelligence et de respect mutuel ; sources de belles relations de qualité dans lesquelles on a envie de se plonger corps et âme.

    Merci pour tout ça.

    Laurent

  50. Bonjour très chère Maitresse,

    J’ai cherché toute la journée mes mots et je vais aller à l’essentiel : merci infiniment pour ce moment rempli d’extravagance et de découvertes, le plaisir a été intense, subversif, sensuel, exactement comme je me l’imaginais. Une expérience inoubliable, vraiment !

    Merci d’avoir cerné également mon binôme et de m’avoir donné l’occasion de lui montrer un autre pan de ma personnalité, moins sous son emprise.

    Il y a évidemment beaucoup de psychologie dans votre pratique et votre approche est canon… autant que vous l’êtes vous !

    Bravo en tout cas, je suis convertie !
    A très vite,

    Louise et Julien

  51. Bonjour Maîtresse,

    Cette première rencontre fut merveilleuse pour moi.

    J’ai été emporté. J’ai voyagé, je suis sorti de mon confort, j’étais tout à vous en vous découvrant (et vous voyant me découvrir aussi).

    Votre accueil a été un sas pour rentrer dans le jeu. Un verre d’eau, une discussion sur les attentes. J’étais tout intimidé par votre beauté et votre regard unique qui mêle empathie et domination.

    Puis, je vous ai attendu à quatre pattes pour être mis en laisse et emmené dans votre salle de jeu. Elle est magnifique et est un univers entier, à part, à lui tout seul.

    S’en en suivit une séance très riche qu’il est impossible de décrire dans tous ses détails. Tout m’a poussé à la soumission, l’humiliation et le plaisir. Tout ce que vous m’avez imposé, attaches, manipulations, coups, martinets, facesitting, adoration des pieds odorants, de votre culotte portée. Tout, absolument tout, m’a ensorcelé en m’entrainant dans votre univers.

    Spécialement, le final qui est très clairement la meilleure douche dorée que j’ai jamais eue : abondante, odorante, forte en gout. Je crois que je n’ai jamais avalé aussi goulument du champagne, préparé aussi par ce moment avec vous en moi et mon visage dans la gamelle. Ce fut merveilleux et j’ai déjà envie d’y goûter à nouveau.

    J’avoue Maîtresse que je rêverais de poursuivre cette aventure avec vous si vous condescendez à cela.

    J’ai senti toute la richesse de votre univers de domination. J’espère que vous consentirez à me laisser ainsi vous prêter allégeance.

    Votre soumis qui vous vénère,

    Jérôme

  52. Bonjour Maitresse Isadora,

    Vous m’avez demandé de rédiger un petit texte pour partager mes impressions de la séance d’hier.

    Tout d’abord, je tiens à vous remercier de l’accueil, un petit verre d’eau à l’arrivée, une discussion sur les attendus, un moment pour se présenter et se mettre à l’aise. Du reste, j’ai partagé des pensées que je n’avais pas encore exprimées à quelqu’un. Merci. J’espère que cela vous donnera des idées :).

    Vous êtes belle, très belle, très sexy, très latex, très attirante. Je n’ai pas besoin de parler de votre corps tant je jalouse celles et ceux qui posent les mains dessus. Votre regard a une expression divine qui force le respect avec douceur.

    Votre lieu de jeu ou de soumission est très agréable avec cette croix « lumineuse » fixée au mur et ces chaînes au plafond. Je m’imaginais attaché pour être fouetté ou attendre un quelconque châtiment. Votre coffre recèle des trésors SM qu’on voudrait découvrir et du reste, certaines nouveautés pour moi (les joujous pour baiser mon sexe par exemple).

    Vous avez été drôle pendant le jeu (rapport aux hérissons ;)), j’ai apprécié. J’ai découvert votre rire et sourire.

    J’ai adoré être attaché même si j’aurais préféré avoir également les jambes ficelées. Cela laisse une impression de total abandon dans le jeu et encore plus avec du latex sur le nez et de la chair sur les yeux. Vous décidez, je subis au lieu d’anticiper la douleur.

    J’ai accepté sans sourciller les aiguilles, j’étais à votre merci. Certaines étaient très hard et très nouvelles comme emplacement (le frein par exemple). Vous les avez mises d’une façon rapide, aguerrie en espérant que le rouge viendrait. J’ai été agréablement surpris que vous recherchiez cette couleur en abondance. Le final était un vrai spectacle et unique. Je suis un privilégié. Merci.

    J’espère que vous accepterez de me voir pour de nouveaux jeux.

    Merci Maîtresse,
    OG

  53. Maîtresse,
    Merci pour m’avoir accepté en tant que soumis et permis de découvrir votre monde, à l’écoute, joyeuse douce et piquante à la fois. Avec une coordination et une maîtrise parfaite des sens vous me faites quitter le sol comme si j’étais ailleurs, hors de contrôle de mes faits et gestes.
    Diable que vous êtes belle, vos tenues latex, venyl, cuir, accessoires le tout de haute qualité fait de vous une Reine.
    Pour être honnête je n’aurais pas un jour imaginé tomber sur une maîtresse avec autant de qualités et qui me ferait voyager comme vous le faites.
    Professionnelle et attentionnée, vous êtes une véritable révélation Maîtresse.
    En espérant continuer ce beau voyage.
    Votre soumis Ahmed

  54. Voici mon compte rendu de notre (merveilleuse) rencontre hier.

    Tout d’abord, je dois dire que je reste à chaque fois subjugué par votre beauté, vos charmes, votre sensualité, votre féminité qui subliment chacune des tenues que vous arborez.

    Ensuite, j’ai à coeur de vous dire que j’apprécie beaucoup ces moments d’échanges avant les jeux. J’ai beaucoup aimé le moment d’hier, nos échanges, nos discussions animées de convivialité, de simplicité, d’humilité et d’accessibilité qui permettent de vous connaître toujours un peu plus et de ressentir une certaine « proximité » qui me plait car cela rajoute une dimension supplémentaire à nos jeux.

    Des jeux encore une fois exceptionnels. Avant tout je dois dire que j’adore ce que vous dégagez pendant ces moments, votre attitude, votre stature, vos expressions, vos regards, vos mouvements. Vous dégagez une aura qui me fait fondre et me renverse.
    Une aura que vous savez parfaitement mettre aux services des jeux et de votre domination. J’aime cette façon que vous avez de me laisser dans l’inconnu et de me surprendre, ne pas savoir le sort que vous me réservez. J’espère en retour être un objet, un jouet qui vous apporte satisfaction et divertissement.

    J’ai aimé chaque moment :
    Lorsque vous m’attachez et me suspendez par les poignets, sentant votre regard posé sur moi tout en tournant autour de moi, laissant imaginer que vous vous délectez du sort que vous allez me réserver. Vos mains qui se posent sur moi pour titiller mes tétons et me faire plier, ou pour m’attraper et me tirer par les cheveux. J’aime la façon dont vous testez progressivement ma résistance et tentez de me pousser au-delà, m’incitant à me dépasser pour vous, stimulé par l’envie de vous satisfaire.

    Dès les premiers instants vous m’enivrez et me transportez dans votre monde, des moments hors du temps où celui-ci semble comme suspendu. Je sens votre emprise sur moi, je vous sens vous et cela me soulève. Comme lors de ces instants où vous vous posez sur moi, mon corps et mon esprit à votre merci. Tous mes sens sont en éveil, je vous observe et vous regarde, mes oreilles scrutent le moindre son qui peut me mettre sur la voie des prochains sévices, le son de votre voix, tout en étant envouté par vos parfums, chaque zone de mon corps à l’écoute du moindre toucher, du moindre contact, de la moindre de vos actions qui me transcendent comme lorsque vos mains se posent sur moi, ou que vous asseyez sur mon visage, honorant mon être de vos magnifiques fesses et votre sublime entrejambe.

    Vous m’avez fait planer hier au-delà du shoot de poppers qui lui aussi m’a emmené loin.

    Toutes ces émotions ont pris le dessus, le dessus sur le contrôle, me laissant incapable de me (re)tenir plus longtemps, et de respecter vos ordres, votre permission. Je vous demande encore pardon Maîtresse pour cette déception dont je suis l’auteur. Je tâcherai de faire mieux la prochaine prochaine fois.

    Vous l’aurez donc compris, j’ai passé un merveilleux moment, et j’espère que ce fut un plaisir partagé.

    Romain

  55. Nous nous sommes rencontrés Maîtresse Isadora, et depuis ma vie a changé.
Je vous cherchais depuis longtemps et je vous ai trouvé.
Depuis que je vous connais, il y a peu d’instants où je ne pense à vous.
Vous m’avez accepté comme votre soumise féminisée.
Je suis à vos pieds pour vous en remercier.
Croyez Maitresse Isadora, que je serais attentif à vos désirs.
Croyez Maitresse Isadora, que je voudrais être prêt de vous plus souvent.
A présent, Maitresse Isadora, vous êtes mon étoile dans la nuit.
Mon désir de vous appartenir est total.

  56. Ma première rencontre avec Maitresse Isadora a été un moment alliant sévérité perversité et douceur. En arrivant j’ai immédiatement été sous le charme de ses yeux et de son charisme …. un simple regard d’elle et je me sens hypnotisé. Après avoir fait connaissance elle a regardé puis Chris les vêtements que j’allais porter ….
    Et lentement je sui devenue Betty qui sous ses dehors plutôt classique cache une jolie salope.
    Maîtresse a ensuite mené la danse avant de me demander de lui faire un striptease et j’avoue que j’ai adoré cela même si je dois encore progresser. J’ai ressenti des émotions et des sensations nouvelles à m’exhiber devant elle … une vraie petite chienne en fait.
    Maîtresse s’est ensuite attachée à me faire découvrir le plaisir incomparable d’être prise par elle … la aussi j’ai ressenti énormément de plaisir et d’abandon
    J’ai apprécié son expertise et son regard dans le miroir lorsqu’elle a fait de moi sa propriété car oui je lui appartiens désormais.
    J’aimerais progresser pour elle dans tous les aspects de la féminité afin de devenir une parfaite petite salope qu’elle pourra exhiber à ses amies.
    En tout mille mercis à vous Maitresse Isadora pour m’avoir procuré cette intensité vertébrale et physique ….
    je suis à Vous désormais
    Votre Soumise Betty

  57. Trou noir

    De ses caresses vague à l’âme
    Ou de mon coeur qu’elle affame
    Je ne retiens que ce ciel lové contre son sein
    Et elle en moi, par à-coups, contre mes reins

    Je ne vois rien, mais entend tout
    Son odeur, son parfum et plus encore
    Sa main humide qui enfin me dévore
    Car c’est en halos que ce soleil vous brûle de partout

    Relative obscurité qui absorbe les sons et la moindre molécule d’air
    Le temps s’est alors arrêté sur ce voyage galactique et lunaire
    Sur cette étoile qui de plaisir vous ceinture,
    Et envahi ce trou noir qui à jamais vous capture.

  58. As a submissive, you are very lucky if you are able to book a session with Mistress Isadora.
    You are privileged if She invites you in for a second meeting.
    In the very unlikely event the mysterious gorgeous elegant smart sensual perverted Mistress grants you access to an exclusive circle of very few subs She would train on a regular basis, going crescendo in intensity, severity, perversity with each session; if you then give in, let Her take over, you’ll experience what BDSM Heaven on earth tastes like…
    Best of luck !
    Thank You so much for each and every session so far Mistress Isadora looking forward to many more.
    Slave p 

  59. Maîtresse Isadora,
    J’ai pris plaisir à rédiger ce petit compte-rendu pour vous faire part de mes impressions sur la soirée que vous m’avez offerte.
    J’ai été bien maladroite. Dans mes paroles et mes attitudes. Au plus j’essaie de paraître à l’aise, au plus je le regrette après coup. Difficile de trouver la manière appropriée de m’adresser à vous, de vous saluer, de vous répondre. Informalité ou déférence ? J’étais à nouveau tiraillée entre les deux.
    Quand vous m’avez demandé de m’allonger à vos pieds, et que j’ai eu besoin de parler avant, je me suis dit que j’avais commis le même faux pas qui vous avait fait douter la première fois. Je dois bien avouer que cette gêne s’est envolée dès que vous avez posé le pied sur moi. J’ai pu admirer une vue inédite, que personne n’aurait pu voir en photo. Moi seule avait ce superbe angle de vue en contre-plongée sur vos jambes, vos cuisses, votre jolie tenue, votre visage tantôt expressif tantôt impassible, et votre regard dont je n’ai dû me détacher que lorsque la douleur me ramenait à des considérations plus terre-à-terre.
    Mon expérience de cette pratique se limitait jusqu’alors au rôle actif. Lors d’après-midi spéciales « feet lovers », où je restais parfois suite à la soirée bdsm de la veille, j’ai plusieurs fois piétiné des soumis, sans absolument rien leur accorder d’autre et en les plaignant intérieurement. Je l’ai fait sans trop d’implication, en comprenant mal que l’acte puisse être aussi troublant, et en me demandant quel intérêt ils pouvaient bien trouver à cette unique attention. Et pourtant, samedi soir, j’ai été pendant quelques instants tout comme ces hommes qui adorent jouer les carpettes. Vous parliez de la différence de traitement que vous accordez à un soumis et à une soumise, eh bien à ce moment-là, j’étais un homme tout petit face à un être surnaturel et déifié.
    Quand vous m’avez montré votre fouet, ce joli serpent enroulé que j’avais déjà senti mais pas vu, j’en ai eu une envie brûlante. Je l’ai pourtant vite oublié car il ne m’est revenu à l’esprit qu’hier.
    Vous avez entrepris de me faire rougir les fesses et notamment avec les mains, ce que j’ai évidemment beaucoup apprécié tout en craignant que ces dernières ne souffrent aussi…
    Lorsque vous avez dit admirer mes fesses et que vous m’avez caressée avec un désir manifeste, je me suis sentie valorisée et plus du tout comme un homme à piétiner !
    Ce trouble me fait perdre le fil du récit. Je ne connais pas toute la suite des événements dans l’ordre chronologique.
    Je sais que vous étiez à cheval sur moi, que vous m’avez captivée en prenant le contrôle avec quasiment aucun accessoire, avec tout votre corps, avec des expressions qui en disent long. Vous avez approché vos lèvres des miennes et j’en ai eu le souffle coupé. Je ne m’attendais pas à ce geste comme à rien de ce qui a suivi. Un baiser sobre et orgasmique. Vous devez bien vous douter que je n’aurais jamais imaginé que vous approcheriez ma bouche de vos cuisses. Je me suis sentie tellement maladroite et (car) subjuguée.
    Quand Jules est entré en jeu, l’extase était à son comble. C’est passé tellement vite. Puis, sans que j’aie l’occasion de retrouver mes esprits, je me suis retrouvée par terre et vous vous êtes assise sur moi. J’étais époustouflée et ça tombe bien puisque vous vouliez me couper le souffle. Quelle merveilleuse idée à intensifier pour un breathplay…
    Quand vous êtes revenue avec un verre, j’ai bien sûr tout de suite pensé à quoi il pouvait servir, je ne suis pas née de la dernière pluie, mais c’était parfaitement impossible que vous salissiez ainsi le parquet ! Et pourtant ! Là aussi, j’ai une magnifique photo en tête et qui n’est pas près de s’effacer. Par retenue, j’éviterai de décrire ce cliché. Vous vouliez que je me caresse ensuite pour montrer à quel point je me sentais honorée. Je voulais l’exprimer bien mieux mais j’ai réalisé soudainement que c’était terminé, qu’il fallait que je sorte de cet extase pour reprendre une contenance. Tout ceci est passé vite, très vite, extrêmement vite. J’ai été fébrile toute la journée d’hier. Et ce n’est pas une simple formulation pour faire joli. J’étais physiquement dans un état second.
    Vous avez placé cette soirée sous le signe de la surprise. Du ravissement. Notamment pour les yeux, et la bouche, je dois bien l’avouer.
    J’étais en admiration totale. Votre aisance vous rend absolument époustouflante. Je vous trouve extrêmement belle quand vous passez la main dans vos cheveux ou rajustez votre tenue. Je sais qu’encore une fois, je ressemble à un soumis carpette avec tous ces superlatifs que j’emploie pour vous qualifier. Je connais bien les « oh mademoiselle, vous êtes tellement extraordinaire, je n’ai jamais vu pareille perfection », j’ai moi aussi entendu cette litanie ânonnée par des hommes croyant se démarquer alors qu’ils sont ridicules à répéter les mêmes incantations à quiconque porte des talons et des cheveux longs. Mais je suis sincère.
    Cette soirée était tellement différente de la première fois et je vous admire pour cela car il est manifeste que vous ne suivez pas une routine. J’ai conscience que, si vous me faites l’honneur d’une prochaine fois, je n’aurai aucun moyen de savoir à quoi m’attendre !
    Oui, j’ai vécu beaucoup de séances trash impliquant de la flagellation très poussée, des contraintes longues et douloureuses, des positions (semi-)suspendues à tenir interminablement, des cris, des pleurs, des aiguilles, des limites repoussées, des accessoires de torture véritable. Mais aujourd’hui, je préfère infiniment la domination dans le style que vous maîtrisez à la perfection, même si et parce qu’il reste une marge d’intensification !
    Une seule chose était désagréable : quand vous m’avez tiré les cheveux involontairement avec vos deux genoux quand j’étais par terre. Cette « violence » était déplaisante justement parce qu’elle était involontaire !
    J’ai beaucoup palabré alors que vous aviez tout dit en une courte phrase : « La sensualité et la complicité grandissent, ça me plaît. »
    Merci infiniment.

  60. Et un autre poème :
    Pour vous servir à vos pieds, au plus profond de mon âme
    Poser ma langue sur vos divines chaussures
    Les lubrifier, les cirer pour en éviter leur usure
    Renifler l’odeur musquée de vos divins pieds
    Y déposer ma langue pour les humidifier
    Parcourir sensuellement chaque orteil pour vous relaxer
    Embrasser toute la plante de vos somptueux pieds
    Comment ne pas rêver de porter votre collier
    Relié à vos mains par une laisse bien écourtée
    Sentir votre cuir et votre corps d’aussi près
    Apprécier la présence de votre Divinité
    Mes fesses offertes à portée de votre cravache
    A quatre pattes portant vos liens et attaches
    Votre parfum me sera le plus doux à sentir
    Votre beauté n’a de cesse m’envahir
    Le vermisseau que je suis en votre océan
    N’étant qu’un esclave face à votre caractère exigeant
    Celui qui veut se parfaire pour votre plaisir
    Je n’aurai de cesse de vous vénérer jusqu’à l’élixir

  61. Voici le poème que j’ai composé en votre Hommage :

    A Vos pieds ressentir la force qui Vous habite.
    Force mêlée d’intransigeance, de tendresse et de compassion.
    Je rampe vers Vous, Femme de tous les temps,
    Amazone indomptable, je m’offre à Vos désirs, Vous aime à la déraison.
    Comme un temple Divin louer Votre corps sublime
    Et le couvrir de fleurs, de larmes et de baisers.
    Prenez mon corps en offrande, mon cœur en sacrifice
    Et laissez-moi Vous vénérer le temps de Votre caprice…

  62. Votre soumis, Pierre

    Ma première impression était l’émerveillement devant la poésie de vos photos.
    Ma deuxième impression était de me dire que j’étais chanceux de pouvoir échanger quelques mots par message avec une femme d’une telle beauté.
    La troisième étape a été l’échange téléphonique que nous avons eu. Ce jour-là j’étais tout intimidé à l’idée de vous parler puis l’échange a été naturel et dès lors j’ai eu une confiance absolue en vous. Je savais a ce moment-là que c’était vous MA Maîtresse, LA Maîtresse qu’il me fallait celle qui allait savoir tirer le meilleur de moi.
    La domination est à mon sens la confiance intense et absolue entre une domina et son soumis.
    Ensuite est venu le jour de notre rencontre et tout ce que j’avais imaginé, était bien en dessous de mon imagination. Mes émotions sont montées crescendo, plus j’étais à votre merci plus je me sentais libre. Depuis ce jour je n’ai qu’une seule hâte c’est de pouvoir vous faire plaisir, vous servir, vous obéir, vous respecter, vous admirer, vous appartenir.
    Merci pour tout ça maîtresse Isadora.

  63. Soumisement Vôtre, Eva

    La nuit est amorcée, je me suis préparée, chaussé mes talons et suis partie vous chercher. Vous entrez dans la voiture qui nous escortera jusqu’à notre première soirée.
    Ma nervosité exacerbée en ce moment si particulier me pousse à tenter de vous faire rire, pour vous séduire, cherchant une échappatoire, à l’intensité de votre regard.
    Nous arrivons dans un lieu enchanteur, en Normandie.
    C’est la première fois que je marche à vos côtés. L’atmosphère y est fraîche, contrastant avec mon corps en ébullition.
    Les festivités peuvent commencer… C’est avec ravissement que nous découvrons la demeure, et ses multiples atouts. Une grande cheminée, beaucoup de pièces raffinées où jouer, de multiples jouets pour s’amuser et surtout la certitude d’avoir la meilleure des maîtresses à mes côtés.
    Je pourrais parler de beaucoup de choses qui se sont passées à cette soirée, mais il y a un instant qui ne ressemble à aucun autre. De ceux que l’on garde en mémoire toute une vie.
    Nous nous sommes glissées dans une yourte dressée au milieu de la nuit déjà bien avancée. Il y régnait une atmosphère enveloppante. Les matières étaient douces au touché, lumière tamisée des coussins et couvertures étaient dissémines çà et là. Une parenthèse sur le monde.
    Vous vous teniez devant moi, de toute votre beauté et assurance. J’ai su à ce moment là que vous pourriez prendre totalement possession de mon corps et de mon être. Votre parfum enivrant et vos yeux envoûtants m’ont fait voyager vers des contrées lointaines, vers un pays de plaisir et de fantasmes.
    Vous naviguiez aisément entre des directives savamment dictées, pour contrôler mon esprit revêche et moments de tendresse exquis.
    A ce moment là je voulais devenir votre objet de désir, celle qui pourrait les combler.
    Être soumise ce n’est pas seulement un engagement verbal que l’on passe avec sa maîtresse, c’est aussi un engagement du corps et de l’esprit.
    La femme à qui je suis maintenant entièrement dévouée incarne pour moi un idéal d’élégance, d’intelligence mais aussi de fermeté.
    Maîtresse, je vous aime autant que je vous crains.

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