Scène d'humiliation publique avec Maîtresse Isadora

humiliation publique

Une entrée en matière provocante

Je suis assise à la terrasse d’un restaurant, un jour ensoleillé. Il s’est arrangé pour que je sois face à la rue, afin que je profite pleinement de la vue. Mes pieds, chaussés de talons aiguilles, le frôlent négligemment sous la table, un geste suffisant pour le faire frémir. La serveuse arrive rapidement et dépose des cacahuètes sur la table. D’un geste, je renverse la coupelle, laissant son contenu s’éparpiller sur le sol.

Maîtresse : Ramasse-les. Mets-toi à quatre pattes et ramasse-les une par une.
Lui : Bien, Maîtresse.

À ses mouvements maladroits, quelques regards curieux se tournent vers nous. Agacée par sa lenteur, je lui donne un coup du bout du pied.

Maîtresse : Incapable.
Lui (baissant la tête) : Pardon, Ma Reine.

Il retourne s’asseoir, rougissant, l’œil légèrement brillant.

Maîtresse : T’ai-je autorisé à te rassoir ?
Lui : Non, Maîtresse.
Maîtresse : Excuse-toi pour avoir pris cette liberté.
Lui : Pardon, Maîtresse, je suis votre dévoué.

Un apéritif aux allures de défi

Deux verres de vin blanc sont posés devant nous. Tandis qu’il s’apprête à en saisir un, je l’interromps en prenant le verre et en y crachant, sous le regard incrédule du serveur. Je repose le verre devant lui sans un mot de plus.

Maîtresse (au serveur) : C’est parfait, merci.
Maîtresse (à lui) : Que désires-tu manger, esclave ?
Lui : Je l’ignore, Maîtresse.
Maîtresse : Oui, tu l’ignores, car tu es un chien, et un chien n’a pas à décider de ce qu’il mange.

Les regards des autres clients se font de plus en plus insistants. Je passe la commande pour nous deux, et nous reprenons notre conversation pour un bref moment.

Un repas sous contrôle

La serveuse dépose nos assiettes et s’apprête à repartir. Je la retiens un instant.

Maîtresse (à la serveuse) : Pardonnez-moi, mais ne trouvez-vous pas qu’il a une petite gueule de pute ?
Serveuse : Pardon ?

Je me tourne vers mon soumis et le fixe dans les yeux.

Maîtresse : Vas-y, dis-le que tu as une gueule de pute.
Lui (hésitant, chuchotant) : J’ai une gueule de pute.
Maîtresse (le corrigeant) : Plus fort, chien.

Il élève la voix, visiblement mal à l’aise, attirant encore plus de regards autour de nous.

Lui : J’ai une gueule de pute, Maîtresse.

Le silence tombe autour de nous. La serveuse est figée, choquée, alors que je le regarde sévèrement.

Maîtresse : Tu as traité la serveuse de pute ?

Sans attendre sa réponse, je le gifle violemment. La serveuse est déconcertée.

Maîtresse : Excuse-toi, chien.
Lui : Pardon, Madame.