NE SOIS PAS EN RETARD

Dominatrice professionnelle Paris

L’Attente Impatiente

« Tu seras chez moi à 21h. Ne sois pas en retard. »

Il n’ose risquer un instant de retard. Il arrive dix minutes à l’avance, la peur d’offenser sa Reine le pousse à se montrer ponctuel. J’ouvre la porte ; il entre, baissant aussitôt les yeux. Sans un mot, il s’agenouille pour embrasser mes pieds, mais je le repousse sèchement, agacée par cette attention précipitée. Avant toute chose, je lui ordonne de s’occuper de la vaisselle pendant que je termine mon travail. Ma journée a été longue, une réunion m’a retenue, et je suis encore en tenue professionnelle : une robe sobre, qui, je le vois, attise discrètement son désir.

« Ma Déesse, vous êtes tellement belle comme ça. »

« Tais-toi, chien. Tu me déconcentres, et tu es arrivé trop tôt. »

« Pardon, Maîtresse. »

Obéissance et Dévotion

Il termine la vaisselle avec application, tandis que je conclus mes derniers e-mails. L’instant venu, je lui accorde le privilège de baiser mes pieds, un geste auquel il s’applique avec gratitude. Ensuite, une autre faveur lui est accordée : je lui ordonne de m’aider à m’habiller, en lui interdisant tout contact direct ou regard intrusif.

Ses mains tremblent en abaissant la fermeture éclair de ma robe. Lorsque le tissu glisse à mes pieds, je sens son souffle contre ma nuque ; il est bien trop près. Je me retourne et d’un claquement de doigts, le repousse fermement : on ne s’approche pas d’une dominatrice ainsi.

« Imbécile, reste là sans bouger ! Va me chercher ma tenue. »

« Tout de suite, Maîtresse. Pardonnez ma lenteur. »

Habillage et Punition

La robe rouge en vinyle glisse sur ma peau avec lenteur, un moment qui exige toute son attention. Quand vient le tour des chaussures, ses mains maladroites laissent échapper la bride de l’escarpin. La punition est immédiate : mon pied s’abat sur son visage. Il a bien compris qu’à la moindre erreur, le châtiment s’abattra. La gifle le fait frémir, un mélange de crainte et d’extase l’envahit.

Servitude Totale

Sous mon commandement, il se couche au sol. Mes escarpins sont un peu sales ; je monte sur lui, sentant mes talons pénétrer son torse. Sa respiration est saccadée, un véritable exercice de maîtrise que de maintenir l’équilibre sur des talons aiguilles, bien campée sur ce corps offert en paillasson.

Il souffre. Mais chaque coup, chaque étreinte aiguise son dévouement.