Le Ciel Sous Vos Pieds : Expérience de Fétichisme des Pieds avec Maîtresse Isadora à Paris
Accueil et premiers instants
Il arrive devant ma porte, fébrile, hésitant même à sonner. Je lui ouvre, et je découvre un jeune homme, tête baissée, qui entre avec une évidente timidité. Dès notre prise de rendez-vous, il m’avait prévenue : « Je suis très timide et définitivement pas un grand bavard. » Son désir ? Un fétichisme des pieds, des odeurs, et une demande particulière : être ignoré, car mon regard serait pour lui une charge trop intense.
Premiers contacts et initiation
Nous commençons. Lui, totalement nu ; moi, en lingerie et déshabillé, tenant fermement la laisse qu’il porte. Je frôle sa peau de mes orteils, effleurant même son sexe brièvement pour tester ses réactions. Obéissant, il me suit à quatre pattes lorsque je le lui ordonne, puis, à genoux devant moi, il commence à me masser les pieds tandis que je m’installe confortablement dans mon fauteuil.
Un peu maladroit au début, il trouve rapidement son rythme. Ses doigts glissent sur la plante de mes pieds, obéissant à mes exigences, et je ressens peu à peu une agréable torpeur, avec une pointe d’excitation qui monte à chaque pression de ses doigts.
Devenir un repose-pieds vivant
Son regard reste baissé, mais je perçois son souffle, plus rapide. Il semble brûler d’envie d’embrasser mes pieds. Je le fais s’allonger sur le dos, juste en dessous de moi, alors que je m’installe pour lire. Son visage devient mon repose-pieds, supportant la chaleur de mes pieds nus contre la fraîcheur de son nez, inspirant mon odeur. C’est un moment suspendu, presque irréel, où il se nourrit de ma présence sans un mot.
Plongée dans ma lecture, je finis par oublier sa présence. Jusqu’à ce que je sente un frémissement : une tempête est en train de naître à mes pieds.
La montée du désir et l'extase des sens
Je remarque alors son sexe, devenu dur, et son souffle plus fort. Silencieux, il respire, il hume, il absorbe. Toujours concentrée sur mon livre, je ressens une nouvelle forme d’intimité qui s’installe. Ses lèvres caressent mes pieds, sa langue les parcourt, les suce, les embrasse et les explore, totalement dévoué. Le garçon timide qui était entré chez moi s’est évanoui ; à sa place, un homme enivré.
De ma position, j’étends mon autre pied pour frôler son sexe, le sentant durcir encore à ce contact, alors qu’il continue d’adorer l’autre pied.
Un moment de soumission et d’extase partagé
Avant de partir, il me dit d’une voix encore troublée : « C’est le ciel sous vos pieds. »